Le mot blogue étonne et intrigue quand j’ai à le prononcer dans un environnement comme celui d’un congrès politique. Du journaliste de la salle de presse au membre du parti en passant par les gens connus et les observateurs, je n’ai senti aucun malaise avec le fait de porter la même couleur de cocarde que les autres gens de média. J’avais anticipé de devoir faire ma place. Il faut dire que quatre ans de pratique carnetière sur un sujet, ça procure une certaine expérience du domaine aux yeux de ceux ont à se faire une idée.
Demain est un autre jour. Les gens que j’ai côtoyés aujourd’hui n’ont probablement pas pris connaissance de ce qui s’est publié aujourd’hui sur cet espace qui est le mien. Je n’ai pas pensé en fonction d’eux au moment d’écrire et il me faudra continuer sur la même veine. Gardons-nous une petite gêne avant de dire que l’expérience est concluante. Je ne suis pas le premier à passer par là dans la blogosphère… des surprises m’attendent. Une chose est sûre, j’ai toutes les raisons de penser que le média du blogue a vraiment sa place dans un événement du type congrès où l’exercice de la démocratie est au centre des enjeux. Un seul blogueur, c’est anecdotique, mais quand des dizaines demanderont à être accrédités, il y aura lieu de contribuer à la réflexion de qui est le mieux placé pour faire quoi. Aussi, la responsabilité des gens qui commentent est grande dans la capacité du blogue (et du blogueur) à jouer le rôle pour lequel il peut apporter une valeur ajoutée : la présence citoyenne.
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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C’est exactement ça : « la présence citoyenne », qui peut maintenant s’exprimer plus librement et collaborativement grâce au médium qu’est le blogue.
Votre présence à Saint-Hyacinthe nous permet d’exercer activement notre devoir citoyen de vigilance même à distance — ce que ne permettent pas les autres médias. Une expérience démocratique fascinante! Merci d’être là.