Tour à tour, la v.p. et la présidente de la commission des jeunes ont brièvement pris la parole pour venir féliciter les jeunes de leur présence. Catherine Goyer (la présidente) a introduit le chef avec beaucoup de dynamisme, disant que les «deux vieux partis ne respectent pas vraiment la jeunesse et qu’il est temps de voir arriver une deuxième révolution tranquille avec la vision de l’ADQ en avant-plan».
Mario Dumont a pris la parole une vingtaine de minutes pour encourager les jeunes présents à «pousser des idées nouvelles». Il a évoqué sa fierté d’avoir enfin obtenu les «vrais chiffres», faisant référence au dossier du vérificateur général abondamment cité aujourd’hui dans l’actualité. Il a expliqué que le timing de la tenue du congrès jeunes avec la sortie de cet «état de situation» était bon puisqu’il vient légitimer l’urgence d’une «vrai politique de l’arrêt de l’endettement» qui sera effleurée par l’entremise des discussions en éducation.
Parlant spécifiquement d’éducation, il a fait allusion aux chiffres sur le décrochage. Il a déploré le très grand nombre de plans d’action (présentés à des ministres au moment où ils entrent en poste), et le peu de vraies actions pour réellement agir sur ce fléau.
Il a terminé son intervention en annonçant une grande tournée autonomiste pour l’automne. Il a invité de façon très sentie chacun des jeunes présents à participer à cette tournée.
Je n’ai pas entendu M. Dumont reparler de l’année de l’éducation que devait être 2008, mais la tenue de cet événement aujourd’hui parle peut-être plus fort que ce slogan. Enfin, il a mentionné que le cahier des participants qui contient les propositions des jeunes lui paraissait «extraordinaire».
N.B. Au moment de poster ce billet, l’avant-midi est presque terminée et il est à noter que M. Dumont est resté dans la salle pendant l’ensemble des présentations, hormis un petit moment pour une entrevue avec les journalistes présents où il ne s’est rien passé de très particulier. Il est même présent à l’atelier «éducation» de la fin d’A.M.
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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