Voilà ce que je retiens d’un texte de Robert Grégoire sur son blogue » Co-construction des savoirs à IDITAE : Un site collaboratif pour l’avancement individuel et la gestion de la connaissance à IDITAE ». (Il écrit collaborif sur le site, mais je crois qu’il veut dire collaboratif; il faudrait bien que je lui pose la question…)
« En définitive, cet article exprime très clairement que:
1. L’information pour devenir connaissance doit être manipulée.
2. L’intéraction sociale, la rencontre des cerveaux offre un milieu essentiel pour l’acquisition de nouvelles connaissances.
3. L’intranet peut servir ces fins, personnellement je suggère que le blogue le fera mieux.
4. La création de communautés d’intérêts et la diversification des intérêts des membres de ces communautés est garante du dynamisme dans l’acquisition de la connaissance. »
L’article vient de Richard Gail et s’intitule Transforming Information into Knowledge – Information Glut and Knowledge Creation in Biotechnology(juin 2001).
Il me semble que ces quatre conclusions à propos des connaissances militent dans la direction du projet qu’on est en train de construire à l’Institut. Il faudra que je refléchisse à la pertinence de nommer et/ou d’afficher ces « conclusions » lors de la rencontre « focus group » du 28 juin à propos du projet CARRIÈRE…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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