Terry Elliot et Pam Pritchard m’inspirent ce soir… Réagissant eux-mêmes à un savoureux billet de Sarah Lohnes, ils mettent en mots le « comment je me sens » qu’il nous arrive tous d’éprouver au travers des expériences de grands changements. Je me sens parfois comme cet éléphant au milieu du salon:
« Psssst. Ne le dites à personne. C’est notre secret : il y a un éléphant dans la salon, mais nous faisons comme s’il n’était pas vraiment là; de toute façon, ce n’est pas vraiment un éléphant » (traduction libre de l’extrait d’un document de Laura Goodwin).
« At the beginning of the talk, Brown makes this point about the way in which technology, and the Web in particular, is changing and shaping our social practices: « So let’s look at the Web, or how it is evolving-rapidly evolving. It’s important to realize that the Web really is a transformative infrastructure very much like electrification was for the United States at the turn of this century. Electrification changed nearly every aspect of how we lived, how we worked and how we learned. It changed the architecture of our factories, homes and cities and nearly all of our social practices. »
Peut-on vraiment imaginer qu’un milieu scolaire responsable puisse faire semblant que les outils technologiques ne sont pas là, à portée de la main ?
J’aime mieux ne pas répondre…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Wow! En effet, j’en suis demeuré presque bouche-bée après avoir lu le billet de Sarah Lones. Pam Pritchard a tout à fait raison d’étendre ça à l’école primaire… Et pas seulement aux ÉU mais dans toutes les communautés éducatives de la planète, qui semble de plus en plus petite. On ne parle plus ici d’une mode, d’une tendance en éducation qui a si souvent meublé le système d’éducation publique au cours des décennies passées, mais bien quelque « pour de vrai » comme on dit chez nous. Une chance qu’il y a des gens visionnaires et proactifs comme vous qui travaillent à faire une différence dans nos écoles. Au risque de me répéter, « managers manage within paradigms, leaders lead between them » (de Bono).
Merci pour ce billet.