Via l’Infobourg, on annonce qu’il est temps de se diriger vers une généralisation de l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC) dans les écoles française… Le ministère français de la Jeunesse, de l’Éducation Nationale et de la Recherche propose dix mesures sur lesquels appuyer sa relance dont celle-ci :
« Mesure 8 : Tous les élèves français se familiarisent avec l’environnement informatique et Internet au cours d’une formation obligatoire à l’école primaire. De plus, dès l’année scolaire 2003-2004, tous les élèves des collèges devront passer en classe de troisième un Brevet Informatique et Internet de niveau 2. » J’aime bien la mesure 10 également…
À partir du dossier de presse du ministère, on constate donc que « le Gouvernement a fait du développement de la société de l’information un enjeu prioritaire pour la France. Plus d’un Français sur deux utilise quotidiennement l’informatique dans son activité professionnelle. Plus de 10 millions de nos concitoyens ont recours régulièrement à l’Internet comme outil d’information et d’échange. La France s’engage résolument dans le raccordement en haut débit des administrations, des hôpitaux, des écoles, des entreprises et des familles. »
Intéressant, n’est-ce pas ? Surtout quand on y lit ce constat: « Près de deux tiers des enseignants n’utilisent pas les outils informatiques dans leurs pratiques pédagogiques avec les élèves. 80% des jeunes pensent que l’école est en décalage par rapport à leur utilisation quotidienne des ordinateurs et de l’Internet. Les initiatives locales foisonnent, sous l’impulsion d’équipes éducatives motivées, mais se développent de manière peu structurée, faute d’un pilotage d’ensemble. »
Mes bons voeux vous accompagnent…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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En France, il y a une différence énorme entre la réalite et les discours.
Ainsi, si le Brevet Informatique (dit B2I) est bien né, il s’agit tout simplement d’une auto-évalutation de l’élève dans son apprentissage informatique, attitude formatrice mais aussi faite parce que les enseignants étaient incapables de valider les connaissances en informatique de l’élève.
L’appréhension de l’informatique dans l’Éducation Nationale en France vient ausi du fait des précédents programmes d’équipement comme le plan « Informatique Pour Tous » qui dans la tête des enseignants se resumait ainsi : un jour, je serai remplacé par l’ordinateur…
Les nouvelles générations font bouger les choses. Reste que je connais des ordinateurs mis dans un coin d’une classe et jamais utilisés… Et ça, ce n’est pas très risible.