Il m’accompagne depuis 25 ans déjà. Je le subodore de disques en disque, de spectacle en spectacles, de film en films. Ou plutôt, il m’a deviné pendant tout ce temps au rythme de mes joies, de mes peines, de mes coups de coeur ou de gueule ! J’ai eu l’immense bonheur de le rencontrer, de l’interviewer en 1985 lors de sa visite à Montréal pour la tournée de « First Circle« . Je me souviendrai toute ma vie de sa réponse à la question, «Pourquoi est-ce si spécial pour vous à Montréal ?» : « Good audience make good music. Here in Montreal, i’ts the only place on the earth were I feel like a celebrity… » Quand on connait la personnalité « low profile » de Metheny, c’était lui arracher une bien grosse confidence. Je garde précieusement les 50 minutes de dialogue ininterrompu sur bobine où il est aussi question de sa collaboration avec David Bowie, de son amour de la scène, de la richesse de son association avec Lyle Mays et j’en passe !
Que d’émotions fortes vécues en sa compagnie, seul dans mon salon, au volant, en compagnie de 140 000 personnes coin Ste-Catherine et (?) en 89 (il me semble), seul sur scène avec la troupe des ballets jazz de Montréal ou à Toronto, la dernière fois où je l’ai vu pour « SPEAKING OF NOW« .
En ce moment, j’écoute la dernière mouture : « ONE QUIET NIGHT« ; de toute beauté… Il s’est offert une nouvelle guitare (d’un luthier canadien, Linda Manzer). Il nous offre une sublime version de « Last Train Home », il nous fait découvrir quelques nouvelles compositions et il réinterprète quelques-une de ces « all-time favorite songs ».
La motivation de ce billet vient de cette initiative. Si je ne pouvais que choisir une pièce du répertoire de Pat Metheny pour offrir en cadeau aux carnetiers de « La Fête de la Musique« , j’irais avec « Are-you going with me » sur l’album « live » TRAVELS-1983. Je nous souhaite bonne fête et je me dirige à la prochaine station…
N.B. Ici, pour voir l’ensemble des participants à l’activité. Et pour ce qui est de ma promesse de faire dans le beau aujourd’hui, voici cette photo de Pat…
Parlant de beauté, il faut goûter le talent de Kill me Sarah qui s’éxécute magistralement dans un projet original de chanson à partir d’un texte de Jack Kerouac. Ça donne « DESOLATION« … L’initiative n’aurait produit que cette retombée que ce serait une réussite totale !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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J’ai un super souvenir d’un de ses concerts a l’Olympia de Paris.
Jean-Luc
Tiens on était peut être au même concert (c’était il y a déjà quelques années) 🙂
Sur le même album que Mario, j’ai une grosse faiblesse pour Travels justement.
C’était au coin de St-Catherine et University Mario, souviens toi on était assis sur le bitume deux heures avant le show pour avoir les meilleures places parmi les centaines de millers de mordus.
Toujours sympa de lire une passion partagée. J’ai découvert P. Metheny en 83 alors que je vivais au Québec. Tout comme Mario, depuis, il a rythmé ma vie avec ses joies et ses peines.
« Laissez moi sur une île déserte avec des chiens, de quoi dessiner, un bateau et ma collection de Pat Metheny… »
attention v’la le fiston qui prend la releve ! pat metheny? a la vie a la mort 😉