Via « Elearnspace blog« , un document d’une grande richesse : « You Don’t Know Me, but…« . Un extrait qui en donne le ton :
« Society Goes Technical, Software Goes Social
More recently the debate has entered a new stage. In short, society got more technical while software got more social. A previous iSociety report, RealityIT: Technology in Everyday Life, suggested that Information and Communication Technology had now moved well into the social mainstream, penetrating the everyday lives of British people in a manner that exhibited neither the futuristic melodrama predicted by the techno-evangelists, nor the social fragmentation predicted by nostalgic luddites. »
Cette publication WEB traite de la question de l’émergence du « logiciel social » (traduction libre de « Social Software ») dans le contexte de « l’après-éclatement » de la bulle internet :
« « Social Software« , is an expression that has been gathering momentum since 2002. It refers to any software which enables groups of people to communicate and to collaborate, from something very familiar such as email, through to a more obscure application, like Hydra, a document editing programme. Online collaboration in programming is as old as the internet, and the study of Computer Supported Collaborative Work has been ongoing for many years. But what is new about Social Software is not so much that it facilitates online collaboration per se, but that it exists for the benefit of the everyday non-specialist user. Rather than supporting advances in programming or science, Social Software is about supporting and improving mainstream social practises that go on both offline and online. »
La iSociety (l’organisme à l’origine de ce qui précède) est une organisation supportée par Microsoft et PricewaterhouseCoopers qui agit comme un espace de veille pour la Grande-Bretagne; elle tient un cybercarnet et elle offre différentes publications. The Work Foundation est en arrière de tout cela…
Si je n’avais que la possibilité de télécharger une section du document, j’opterais pour la conclusion.Un extrait :
« This report began by nothing that an increased interest in social connection initially drew two contradictory analyses. The spread of computer-mediated communication was implicated in two contrasting futures : one of social isolation and the erosion of traditional community, and another of constant communication combined with new types of social organisation. The error made by both camps was to see technology as a replacement for pre-existing social behaviour. The pessimism of some social capital experts was founded on studies of time spent using the internet, as if this could not also be time spent building social capital. The optimism of some technology evangelist was driven by the promise of online community as something separate and better than « real world community ». The two perspectives agreed on one thing, namely a « two worlds » view of the internet versus everyday life. »
0 Commentaires
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Billets de mon blogue les plus lus au fil du dernier mois
Rechercher
Commentaires récents
- ClementLaberge dans Les étudiants d’aujourd’hui ont des mimiques de poissons congelés
- Benoit therrien dans Projet Lab-école : il y a foule pour réinventer l’école
- Mario Asselin dans Magic Door suspend ses activités
- Marc dans Magic Door suspend ses activités
- Mario Asselin dans Une semaine après l’attentat de Québec