J’aime bien l’énoncé de vision du Feinstein High School de Providence, Rhode Island. Ce passage en particulier:
« The New Feinstein High School is performance-based and structured to meet the individual learning styles and needs of each student. In a recent article in The New York Times, Arthur Levine, the president of Teachers College at Columbia University, states that the formal recognition of individual learning styles is « not a fad, which will pass » but is the « start of a revolution that will transform American education forever. » With this performance-based high school, Providence is a national leader in this revolution. While many high schools around the country are implementing reforms that respect the individual nature of teaching and learning, all too often these reforms are just tweaks at the margins. All of the high schools in Providence are currently in the midst of an intensive redesign process that will guide them towards the goal of guaranteeing high standards for all students. Each of our high schools has diligently undertaken the redesign process with the understanding that « tweaks at the margins » will not be enough to create a high school that serves all students and all high schools are exploring structures and reforms that are comprehensive and wide-ranging. However, changing an established organizational structure as well as the climate and cultural beliefs that accompany it is a slow process, and one that usually ends up compromising the original reform idea to fit within existing familiar and comfortable structures. »
Le texte est trop long pour constituer une vision à proprement dit. Je préfère les énoncés d’une phrase qui disent tout en peu de mots. Celle-ci doit être engageante, mesurable et à la limite de « l’atteignable ». Quand un président américain (J.F Kennedy, je crois) a dit «Un jour, un homme marchera sur la lune», on était en présence de toute une vision qui répond à ce que je me fixe comme critère.
À l’école, dans la période que nous vivons depuis quelques années, j’utilise fréquemment celle-ci : «À l’Institut, on aura réussi notre « virage réforme » quand nos meilleurs apprenants de l’école seront nos enseignants« .
Cela n’enlève rien à la richesse du texte du Feinstein High School. Je suis depuis peu, le cybercarnet de Tom Hoffman qui m’a mené récemment, à un atelier qu’il a animé à la « O’Reilly Emerging Technology Conference » : « We’re All in this Together, Kid: Social Software in School Reform« . Un extrait du résumé:
« Teachers need forums to share student work and safely discuss it in relation to the standards. Longitudinal and developmental records need to be maintained for each student and made available to teachers, students, and parents. In short, schools today have a big need for a new generation of collaboration and content management tools. »
Certains comprendront pourquoi cette lecture est en lien avec une de mes visions de l’école de demain…
Mise à jour : voir cette page pour un exemple de mission d’école bien affirmée (en particulier, ce en quoi « ils croient » (Beliefs)) !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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