C’est la question que pose David Grebow dans son billet Are We Finally Ready for the 80% Piece of the Puzzle ? sur le cybercarnet « Learning Circuits » Ça se résume à peu près à ceci (traduction libre):
« … apprendre au travail consiste (en moyenne) en trois parties : Je sais (5%); Je peux faire (15%) ; J’adopte et j’adapte (80%) »
Selon les recherches de M. Grebow, il est usuel de se concentrer sur le » je sais » et le « je peux faire »; l’idée étant qu’on laisse le travailleur-apprenant à lui-même dans la portion cruciale qui permet de réellement faire quelques choses avec ce qu’on a appris, le « j’adopte et j’adapte ». Alors « Quand s’occuperons-nous d’accompagner notre monde dans ce 80% de l’espace (le « où ça se passe ») ?
Jay Cross me procure l’occasion d’en apprendre plus (à ce sujet) sur ce site, « Informal Learning the other 80%« . Il semble que ce soit un espèce de brouillon de livre à paraître. La table des matières donne le goût de lire tout de suite:
« Informal Learning the other 80%
Execution is the goal
Learning is social
Getting the proper balance
Tell me why
How workers learn now
The New World
Find a connection
Positive learners
Knowledge Creation
Focusing on Core Knowledge
How to Create and Expand Core Knowledge
Intention
Individual learning evolves
People love to learn but hate to be taught
What’s the best way to invest in informal learning ? »
Mais le trésor caché de ce document est dans l’annexe 1, les « Seven Principles of Learning« . Les autres annexes ne sont pas « piquées des vers », non plus ! Ah ce Jay, il a beaucoup à m’offrir…
N.B. Je ne sais plus trop par quel chemin, à partir de ce qui précède, je suis arrivé ici, mais en lien avec ce qu’on lit sur la carnetosphère ces temps-ci, cette question est, elle aussi, très pertinente : « Are You Ready for Social Software ?
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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