Je publiais récemment ce billet à propos du besoin de me doter d’une politique éditoriale. La discussion a porté fruits, d’ailleurs, dans notre recherche d’un terme pour le mot « de-publishing » : rétropublication a été adopté !
Je suis actuellement à mettre la dernière main au « Code de déontologie de l’élève à l’Institut St-Joseph » et ce travail m’a permis d’écrire, en parallèle, la politique éditoriale de ce cybercarnet. Dans le prochain billet donc, je publierai le projet de politique qui pourra s’enrichir de tout commentaire venant des lecteurs. Je tiens à prendre les devants à l’intérieur de mon cybercarnet sur ce sujet comme je l’ai fait en utilisant l’outil de publication presqu’une année avant que mes élèves et collègues « s’y frotte ».
L’idée n’est pas de créer une surenchère ou de se montrer plus fin que les autres; c’est simplement une question de signifiance. Je ne peux pas demander à notre communauté d’apprentissage de cheminer selon certaines règles et de mon côté, en faire fi ! Aussi, le fait d’expérimenter un peu avant, me procure une expérience qui m’aide à encadrer celle des gens qui comptent sur moi pour ce faire…
Je suis responsable de ce que j’écris et de ce que je publies. Cette responsabilité fait en sorte que je doive respecter un certain nombre de règles concernant la publication WEB en générale et de celle qui consiste à rétropublier. Par exemple, un auteur peut citer un billet et y revenir plus tard et trouver le texte modifié considérablement. Ce problème pourrait potentiellement endommager la crédibilité de l’auteur, particulièrement si de tels changements ne sont pas identifiés dans le cybercarnet.
Je me lance… Le document concernant l’Institut suivra dans quelques jours !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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