Via Sebastian, « Quelques obstacles aux apprentissages collaboratifs ». Je tente une traduction du billet de Martin Terre Blanche :
« – Les étudiants et les conférenciers sont plus aux faits d’un modèle de transmission de connaissances en éducation et ne comprennent pas toujours ce qui est attendu de nous dans un environnement de constructivisme.
– Nous avons trop peu d’informations sur les réseaux et les qualifications des conférenciers et des étudiants devant nous, et trop souvent, nous ne réalisons pas qu’il y a quelqu’un dans le groupe qui pourrait bien nous renseigner au sujet d’un aspect de ce que nous étudions.
– Aucun ou peu de mécanismes permettent aux étudiants de reparler de nouveau au conférencier et (en particulier) de s’entretenir ensemble les uns les autres.
– Mémoire de cours en cours insatisfaisante. Les conférenciers sont souvent le seul pont entre les connaissances des étudiants de l’année dernière et de ceux de cette année (les étudiants n’ont pas accès aux découvertes des étudiants présents avant eux). Il n’y a aucun mécanisme pour les étudiants qui voudraient rester dans le groupe pour la session suivante (et qui pourraient être une ressource utile pour les étudiants de cette nouvelle série de cours). »
Ça me rappelle quelques choses, cette façon de faire. Est-ce que ça se passerait encore comme cela dans les universités ? « Ben voyons donc » !!!
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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