C’est ce qui se dégage de ce billet de Robert Paterson qui en profite au passage, pour adresser deux bonnes questions :
« Is there something deadingly passive about the instruction method used at school ? Is there something about the teacher being a « Mom Clone » that pisses boys off ? »
Il me conduit vers cette référence, Why Video Games Won’t Thrive in Mainstream Education, de Jeremy Hiebert. Un extrait :
« Traditional education is all about control — controlling what kids learn, when they learn it, and in most cases, how they learn it. Not that the approach is all bad, but good games tend to be more like punk rock — they thrive partly because they chafe against all forms of control. They’re irreverent, funny, loud, free-form, visually intense, and you find out about the effects of your choices in real time. As soon as the « game » is designed to align with curriculum standards, the odds of the game being engaging drop to almost zero. »
Par mon agrégateur, j’avais retenu cette page dans le but d’y revenir; il me faut croire que je deviens transparent dans mes billets (ou dans mes sujets de prédilection), car Clément a pris la peine de m’envoyer la référence par courriel…
Faire partie d’un réseau de carnetiers a ses avantages : on ne peut manquer un bon filon. Dans les derniers jours, celui-ci et celui-là m’ont conduit à faire des pirouettes dans mon index principal de MT. Merci à Gilles et Jean-Luc !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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