Histoire de s’outiller quelque peu, je regroupe quelques documents pouvant constituer un point de départ à la discussion sur le sujet évoqué dans le billet précédent. Je me dis que certaines « bonnes âmes » sauront utiliser les commentaires pour garnir ce recueil de départ…
– L’évaluation des apprentissages (.pdf), feuillet d’information destinés aux parents de la CSDM (février 2002).
– Reportage de l’émission Enjeu, portant sur la réforme. Diffusion le 16 mars 2001.
– Conférence de Violaine Lemay, « Libérer l’enseignement des chaînes administratives du tri social par le droit ». Diffusion en août 2002. Version papier dans « Vie pédagogique » de septembre-octobre 2001, no. 120, p. 42-47.
– Cadre de référence du MEQ, « L’évaluation des apprentissages au préscolaire et au primaire ».
– Échelles des niveaux de compétences, « L’évaluation des apprentissages au préscolaire et au primaire ».
– Les défis de l’évaluation dans le contexte des cycles d’apprentissage pluriannuels, de Philippe Perrenoud.
– Évaluer sans décourager de Roch Chouinard, traite de l’impact des pratiques pédagogiques et évaluatives sur la motivation scolaire des élèves.
N.B. Ce premier « tri » regroupe des ressources qui laissent à penser que la bonne réponse à la question posée samedi est « non ». Je souhaite affirmer que cela n’est pas représentatif de mon opinion de départ… qui est plutôt neutre pour l’instant. Cependant, force est d’admettre que les parents présents aux réunions de la semaine dernières ont exprimés des opinions qui va dans le sens de répondre « oui ». Ces documents pourront contribuer à faire contrepoids avant la tenue des prochaines activités. Il est aussi une indication (ce tri) que la documentation favorable n’est pas celle qui m’est apparu la plus évidente à trouver…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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J’ai consulté les différentes rubriques et les commentaires publiés jusqu’à aujourd’hui et, avant d’avancer ma position, je souligne un aspect important à considérer.
Avant d’aller plus loin et de se positionner, un questionnement s’impose quant aux choix de nos valeurs éducatives; favoriser la réussite du plus grand nombre d’élèves, moyens et plus faibles ou favoriser le succès de nos élèves forts? Nous devons définir nos valeurs en tant que citoyen et ce n’est pas une tâche facile, car nous devons penser aux conséquences de nos décisions pour notre collectivité.
Par ailleurs, nous devons également utiliser les résultats des recherches effectuées en sciences de l’éducation et en psychologique. Nous ne pouvons pas, mais absolument pas, prendre des décisions relatives à l’évaluation des élèves sans prendre en considération l’avancement des travaux en recherche. En sciences de la santé, des recherches ont démontré qu’un médicament donné avait une influence positive ou négative sur la santé ou une maladie. Avant d’avancer fermement une position, les scientifiques doivent démontrer l’efficacité d’une solution.
Je crois qu’il en est de même dans le domaine de l’éducation. Il est impératif de s’inspirer de travaux fiables effectués par les chercheurs oeuvrant en psychopédagogie et en psychologie avant de se positionner.
Bonne réflexion.