« Soyez gentils avec les « nerds ». Il y a de bonnes chances que vous finissiez par travailler pour l’un d’entre eux. »
Est-ce le juste retour des choses ? Depuis que je travaille en éducation, je mène une bataille rangée contre « le syndrome des cancres* » ! Ce terme défini le fait de se réjouir d’obtenir de mauvais résultats scolaires, ceci érigé en système. Dans les écoles secondaires en particulier, on rencontre ce genre de dynamique qui s’installe quand la dérive du bon sens prend racine. Dans le pire des scénarios, on va jusqu’à s’en prendre aux bons élèves pour les diminuer… Je vis depuis six ans une grande accalmie dans ce combat, car à l’Institut (je suis au primaire), je ne rencontre pas ce phénomène, Dieu m’en préserve…
Le propos derrière la règle #11 suggèrent donc que les élèves brillants (doués, surdoués, « bollés », tout sauf « nerds », S.V.P.) finissent par resurgir aux plus « hautes fonctions d’emplois », celles qui font en sorte qu’ils gèrent du personnel et des ressources. Je souhaite « qu’être gentil » signifie créer des liens avec eux, car s’ils sont habiles intellectuellement, ils ont souvent besoin d’aide sur le plan social et affectif…
*Tiens, ça me fait penser que ce n’est pas très documenté ce sujet; il y a toujours cette adaptation d’une fable connue…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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