La première soirée de la rencontre d’Autrans m’a permis de rencontrer des gens que je ne connaissais que par le virtuel. Le visage de Christophe est tout aussi expressif que l’ampleur de ses projets sur le web. La personalité de Karl est empreinte d’une forte énergie et d’une assurance telle qu’on peut le ressentir à la lecture de ses textes. Jean-Luc est dynamique et un vrai moulin à paroles tel que son cybercarnet nous le révèle… Chez chacun, j’ai quand même fait quelques découvertes pas banales. Christophe possède un sens de la fête hors du commun, Karl a un système de housse à portable hors de l’ordinaire et respectueux de ses valeurs environnementaliste et Jean-Luc est un gars de service très efficace !
Et puis, il y a tout le bonheur du côté des nouvelles rencontres. Eux connaissent Mario, tout de go, mais moi je connais maintenant Pierre Bernard un joyeux luron, Arnaud Fontaine le gars fiable côté technique, Thomas Papiernik qui papote constamment sur le réseau, Luc Legay qui prend photo par dessus photo et XavierMaury qui dessine constamment tout en expliquant ses idées; j’oublie Arnaud klein, un type plutôt discret qui nous réserve bien des surprises, je crois…
On a parlé Wiki, musique québécoise et projets de toutes sortes en plus de bien des choses qui doivent rester dans le souvenir de chacun. Nous sommes prêts pour le sommeil et la grosse journée de demain !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Mario, ton carnet web est génial : de la réflexion, de la personnalité, de l’action. Merci de tes comptes rendus des journées d’Autrans 2004. Voici un lien vers ton « WikiCourrier » : tu y trouveras un dessin que je te dédicace. (Je n’ai pas trouvé le moyen de publier une image sur ton carnet web : comment fait – on ? ).
Petit commentaire sur Désordre / Ordre (le sujet du dessin) : dans un réseau de contraintes, chaque noeud du réseau est assis dans un « puits de potentiel » (comme des billes calées dans leur trou). Chauffer le réseau (introduire de l’énergie, donc du désordre) fait sauter les « billes » et leur donne la possibilité de retomber dans un trou (un puits de potentiel) plus profond. Lorsque le réseau « refroidit », il y a de bonnes chances que beaucoup de billes se retrouvent dans des trous plus profonds qu’auparavant. Le réseau est alors plus « solide », et représente une forme d’ordre plus cohérente qu’auparavant. Cette technique (relaxation thermique) est utilisée dans les « réseaux de neurones » et beaucoup d’autres types de représentation de données ou d’agents. (Tu peux demander des explications plus … solides à des collègues physiciens, électroniciens ou informaticiens).
Mes dessins aident les participants à une réunion (en petit groupe, comme à Autrans, ou sur grand écran devant 3000 personnes), ou les lecteurs d’une publication, à refocaliser leur attention (en leur permettant de retomber dans un « puits d’attention » plus profond).
Toi aussi, tu fais pareil, pas avec des dessins, mais avec des propositions et actions qui « révolutionnent » la façon d’enseigner. Au prix d’un petit désordre (changement des habitudes des collègues, des élèves, des parents), tu obtiens au final une meilleure cohérence !
Cordialement,
Xavier (ou « Fix » pour les dessins)