Revenir des RIMA fut plus difficile que de revenir d’Autrans. Dès l’après-midi du mercredi suivant la fin de l’événement, je me devais de redevenir disponible pour le quotidien à l’école (ce qui est on ne peut plus normal). Depuis ce temps, « je pompe l’huile un peu ». Beaucoup même. L’adrénaline qui retombe, la fatigue accumulée ou l’abondance des sujets de préoccupation… j’ai l’embarras du choix de la cause de cette baisse d’énergie. Je vais m’en remettre.
Ce qui est paradoxal, c’est que je ne peux vraiment « couper le cordon » d’avec les RIMA. Tout me retient dans la vague engendrée par ces trois jours plus qu’intense. À commencer par ces nouveaux cybercarnets qui naissent ! Audrey et Gilles ne sont pas des néophytes de l’utilisation des TIC et leur début est assez « fracassant » !
Ensuite, il y a ces courriels qui font suite à des échanges sur « le plancher ». De beaux projets que je ne peux laisser passer même si je m’étais dit que je ferais attention à ne pas m’en ajouter… Il y a des types de collaboration qu’on ne peut pas laisser passer ! (À suivre…)
Et puis des projets qui continuent et/ou qui prennent une autre vitesse encouragés par l’énergie des RIMA. Je pense à la collaboration avec le Collège Saint-Charles-Garnier qui promet beaucoup, notre appropriation de la réforme qui se raffine, l’accueil de visiteurs ou de nouveaux élèves pour l’an prochain au Pavillon St-Louis qui élargi le rayonnement de notre communauté d’apprentissage et plusieurs occasions de formation auquel certains membres de notre équipe-école contribuent.
Enfin, quelques résumés plus qu’intéressants surgissent ici et là; et ce n’est pas fini, si je me fie aux fameux courriels dont je faisais référence tout à l’heure…
Décidément, il devient difficile d’en revenir !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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