Faire tomber les murs de l’école !

Je reviens de l’activité de lancement des Rencontres Internationales du Multimédia d’Apprentissage. Je suis gonflé à bloc… Rencontrer de visu des gens qu’on ne connait que par le virtuel est une expérience qui m’émeut à chaque fois. Jacques, Sébastien, Stephen, et Stéphane ont maintenant un visage qui me révèle d’autres aspects de leur personnalité. La famille des carnetiers est bien représentée dans cette rencontre de Québec avec en plus, Clément, Carl-Frédéric, Christine, Dolores et Jean-Sébastien… Je m’en voudrais de ne pas nommer les enseignants de l’Institut qui sont aussi de la partie ainsi que quelques élèves ! (J’oublie quelqu’un ?)
(Mise à jour du matin : Michel sera présent lui aussi…)
(Mise à jour d’après rencontre : Autres carnetiers présents : Jean-François Boulard et Jean Lalonde !)
De fait, la belle énergie ne vient pas que des « gens de carnet », car de bien belles rencontres ont eu le don de donner le ton; quelle beau rassemblement de talents, d’innovations et de passion ! Je suis déjà impressionné et c’est à peine commencé.
Je suis un des premiers, demain A.M., à offrir aux participants une communication. Je suis très anxieux ce soir puisque les premières discussions avec mes collègues m’ont donné un avant-goût de l’immense privilège de me retrouver en leur compagnie. En pensant à tout cela une fois revenu à la maison, je me répétais le titre de notre atelier « Quand le multimédia fait tomber les murs de l’école ». Les murs, est-ce ce qui enferme ou ce qui encadre ? Pourquoi les faire tomber ? En quoi est-ce un avantage de les voir s’écrouler ? Tant de questions qui me trottent dans la tête et qui m’accompagneront au coucher…
J’ai écrit quelques notes pour demain; je dirais même un texte. Je ne le publierai pas ce soir. Peut-être jamais…
Je vais voir cela quand j’aurai offert l’essentiel de ce qui m’anime sur mon expérience de l’utilisation des cybercarnets au service des apprentissages. J’aime bien l’idée (cette fois-ci) d’attendre à la dernière minute pour trier et choisir ce qui composera mon quinze/vingt minutes d’exposé. Faire tomber les murs, les préjugés; les murs qui tombent comme tomber en amour (et tomber de sommeil !)… le vertige. Combattre ce qui enferme, repousser les limites de nos certitudes, faire apprendre en respectant les différences et permettre aux apprenants d’être encore plus actifs dans leurs apprentissages.
Une phrase me guidera :
« Pour les jeunes d’aujourd’hui, croire davantage à l’école de demain qu’à celle d’hier ! »

1 Commentaire
  1. Photo du profil de MarieBurroughsJobin
    MarieBurroughsJobin 18 années Il y a

    « … le vertige. Combattre ce qui enferme, repousser les limites de nos certitudes, faire apprendre en respectant les différences et permettre aux apprenants d’être encore plus actifs dans leurs apprentissages »
    Mais je ne vous savais pas poète, M. Asselin ! En tout cas, c’est de la poésie à mes oreilles et j’espère bien que vous publierez ce texte !
    Bonne conférence !

Laisser une réponse

Contactez-moi

Je tenterai de vous répondre le plus rapidement possible...

En cours d’envoi

Si les propos, opinions et prises de position de ce site peuvent coïncider avec ce que privilégie le parti pour lequel je milite, je certifie en être le seul éditeur. - ©2022 Thème KLEO

Vous connecter avec vos identifiants

ou    

Vous avez oublié vos informations ?

Create Account

Aller à la barre d’outils