Je participe actuellement à l’assemblée générale de la FEEP. Nous sommes dans Charlevoix. Le premier intervenant, M. André Savard, nous entretient du sujet de la reconnaissance du personnel autre que sous la forme monétaire.
Intéressant de voir la différence de vue entre ce que les patrons pensent de ce qui est important pour les employés et ce qu’en pensent les employés pour eux-mêmes. Voici les résultats d’un étude/sondage qu’il amène :
Facteur contribuant à établir un moral élevé :
Employés (Patrons entre parenthèse) :
1- Appréciation du travail accompli (8)
2- Bonnes perceptions des situations (10)
3- Attitude sympatique face aux problèmes personnels (9)
4- Sécurité d’emploi (2)
5- Bon salaire (1)
6- Intérêt pour le travail (4)
7- Promotions/opportunités de développement (3)
8- Loyauté de la direction (6)
9- Bonnes conditions de travail (5)
10- Subtilité de la discipline (7)
Nous cherchons tous la mobilisation et l’engagement de notre personnel à la mission de notre institution… Il semble que les moyens à prendre passent par la reconnaissance de la contribution de nos employés. La définition de la reconnaissance donnée par notre conférencier est intéressante : »Sentiment qui pousse à éprouver vivement un bienfait reçu, à s’en souvenir et à se sentir redevable« . Questions : «Sommes-nous en mesure (avons-nous appris ?, savons-nous comment faire ?) d’échanger des sentiments entre patrons et employés qui valorisent le travail bien fait ?»
Exprimer des émotions, je ne suis pas sûr que ça fait partie du « manuel d’apprentissage pour être patron » ! Pour un homme, c’est parfois s’attendrir… C’est aussi s’exposer à ne pas être égal avec chacun car la distribution risque d’être variable… Et il y a la propension à sanctionner; on est bien vu (qu’on se dit) à « faire quelque chose » quand on « pince quelqu’un » en flagrant délit ! Peut-être que le nombre de fois où se pose un geste valeureux dépasse largement les anicroches !!! Pourquoi ne pas prendre « en flagrant délit » les gestes constructifs et « les monter en épingle »… C’est la position de M. Savard; c’est pas fou !
Je retiens de cette conférence que je dois redoubler d’ardeur pour reconnaître et nommer « les bons coups » des membres du personnel de l’école ! Plusieurs petits trucs ont été nommés; des choses simples, peu coûteuses en $ pour l’école. Certaines suggestions sont pratiquées chez nous… d’autres ne le sont pas !
À suivre…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Bravo Mario. Bon résumé. Il y a effectivement de bonnes idées à implanter à l’Institut.
Bonnes chances.
P.S. Michel partage mon point de vue.