Au fil de la semaine, plusieurs articles anglophones ont retenu mon attention sur le sujet de la publication Web. J’ai pris plaisir à les lire en même temps qu’ils m’ont laissé quelques questions.
Prenons « Understanting media: weblogs are excellent communications media, but lousy communication tools » de Dave Pollard pour commencer. D’abord l’extrait, ensuite la question :
« Now, blogs also have two communication tools included: a publishing and subscription tool (RSS), which does transmit our messages (very well), and the rudimentary comments ‘thread’ functionality which, like a poor web forum, does allow some dialogue with the author and with other readers. The thread is a (lousy, and because it’s asynchronous, jerky) extension of our brains. To some extent the Internet itself is a communication tool that disseminates our blog comment; it is the blog’s « printing press ». And by that analogy, RSS is like the delivery truck that takes the newspaper to the subscriber’s house — both are communication tools, though RSS is clearly the superior delivery vehicle. »
Outil de communication ou média; est-ce si important de faire la distinction ?
Ensuite, il y a ce texte publié sous la rubrique « The Future of Secondary Education », « Students as Producers: Using the World Wide Web as Publishing House » :
« The World-Wide Web, a hypermedia interface to the Internet, can be viewed as a medium directed to the global community, in-as-much as anyone with access to the Internet and a Web browser becomes the audience for their work. As such, publishing on the World-Wide Web provides the kind of potential real-world exposure that can motivate students to engage with issues that concern them directly: for such a writing assignment; the teacher is not the only one who is going to read their writing. »
La question qui se pose ici est : Puisque ce texte date de janvier 1996, comment se fait-il que si peu de pas ait été faits en ce sens ?
Et puis, dans ce bon document (« Scholars Discover Weblogs Pass Test as Mode of Communication« ), on retrouve ce passage (déjà cité par Sébastien Paquet) :
« Blogging is dead, long live blogging. I suspect that over the next few years we will see a lot of calls suggesting that blogging has died, and I suspect that in a sense they will be right. The act of keeping a « Weblog » as a separate entity will become something of an anachronism. The broader world of collaborative Web publishing will continue to grow and converge with other technologies, including IM and e-mail. Imagine asking someone today if they are an « e-mailer. » That question made sense, among a certain group, 15 years ago, when you weren’t sure if someone had e-mail or not. I have a feeling that the production of public media — whether in the form of Weblogs, wikis, collaboratively filtered lifelogs, or some form that I am too shortsighted to predict — will be the moving force of a new era. »
Que faire pour concilier cette prédiction et la problématique entourant la fracture numérique ?
Et enfin, aujourd’hui, il y a ce texte, « Teenagers reach out via weblogs » :
« « I am now looking at the way blogs can be used in the class, as an educational technology, » Mr Huffaker said. The average blog post is over 2,000 words (per page), which is really interesting when you are trying to get kids to write essays. »
Quand on sait que David Huffaker était des RIMA 2004, la question devient « l’aurions-nous inspiré quelque peu ? »
Autant d’articles publiés en anglais qui me disent que nous sommes « dans le beat » pas à peu près !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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