À la fin de ce billet portant sur « les grands dangers » que comportent l’utilisation de Google, Marie Burroughs Jobin demande : »Qu’en pensez-vous ? » Marie-Élaine répond que « la C.S. des Draveurs va faire rire d’elle »…
Pour l’instant, je me désole bien plus que j’ai le goût de rire. Je suis du privé, je vais me garder une petite gêne avant de juger trop vite. Mais…
Y-a-t-il quelqu’un qui pourrait lui expliquer (la personne qui a décidé d’interdire Google dans les écoles de cet organisme) que c’est plus dangereux de ne pas éduquer devant la présence de dangers potentiels que d’interdire et de risquer que les jeunes soient confrontés aux mêmes dangers (hors de l’école) sans les moyens d’y faire face ?
Et je ne parle pas de l’énergie perdue à jouer à la police et/ou à travailler tout croche pour se conformer à une règle douteuse !
Mise à jour de fin de soirée du 15 septembre : La C.S. des Draveurs ne semble pas se rétracter (voir ici)… Gilles Jobin hypothétise… et la meilleure : ce site Web de la même C.S. qui se targue d’avoir comme partenaire… GOOGLE ! Mais on parle d’un site d’éducation pour adulte…
Autre mise à jour de début de nuit : Précisions de Marie Burroughs Jobin qui portent à penser que l’interdiction ne découlerait pas d’une directive de commission scolaire, mais d’un interprétation d’une personne du RÉCIT à partir de sa compréhension de la compétence transversale TIC du nouveau programme de formation. Ouf ! On s’enfonce ou on s’en sort ? Je vais dormir là-dessus…
Mise à jour du 18 septembre : Voici un court communiqué (.pdf) qui précise la position de la C.S. et qui légitime l’utilisation des moteurs de recherche contrairement à l’information qui a circulé…
Mise à jour du 20 septembre : Si jamais j’ai le goût de me souvenir de ce qui s’est passé en lisant un seul texte, celui-ci de Audrey Miller d’Infobourg fera l’affaire !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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« On s’enfonce ou on s’en sort ? »
Avant même de te lire, c’est ce que j’écrivais sous forme de commentaire sur le site de Marie Burroughs Jobin.
À mon avis, on s’enfonce. Du moins pour l’instant.
Mais qui sait… peut-être que nous nous inquiétons pour rien et que nous sommes simplement sur un tremplin grâce auquel, après nous être légèrement enfoncés, nous nous élèverons plus haut que nous ne l’étions avant le saut?
Faut rester optimiste! 😉
un communiqué de presse en comic sans? *soupir*