Sentir que ses enfants vivent des moments de bonheur.
Dialoguer sur le thème « Les impacts en éducation d’une plus grande flexibilité ».
Dessiner pour exprimer sa solidarité.
Sonder les coeurs pour éviter de sombrer dans la folie.
Raconter une activité d’été avec passion.
Trouver un sujet difficile et en discourir de brillante façon.
Le fil conducteur de toutes ces références : De bien belles lectures pour débuter une fin de semaine !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Je trouve que vous avez fait un très beau billet avec tous ces hyperliens et pour revenir à votre lien «dessiner pour exprimer sa solidarité», je trouve cela très intéressant et bien sûr si plusieurs personnes prennent le temps de dessiner pour tous ces enfants, j¹espère ces beaux dessins seront envoyés en Ossétie du Nord. D¹ailleurs pourquoi ne pas faire participer l¹école, ce serait un projet d¹aide humanitaire très intéressant?
Et encore merci d¹avoir citer mon billetŠ
Dominick,
J’ai bien vu le reportage du Soleil d’aujourd’hui concernant l’aboutissement de votre projet de dessin pour les enfants de Beslan.
Tu pourras remarquer qu’à la page attenante à ce reportage, (à la page B 7) se trouve la page éditoriale/Place publique exhortant à s’occuper ou se préoccuper un peu plus d’Haïti (qui, soit dit en passant, n’a pas été bien bien plus «favorisé» que Beslan en septembre).
Pourriez-vous donc tenter maintenant de faire un p’tit qqch pour les enfants haïtiens, qui sont – selon les reportages – parmi les plus traumatisés de la planète ?
Je vais me permettre de répondre à court terme pour Dominick qui est en voyage jusqu’à mardi dans un endroit où Internet ne lui est pas accessible. Votre commentaire est judicieux M. Beaulé. Nous en discutions, les élèves du Pavillon St-Vallier et moi, lors d’un récent vendredi-magique. Nous avons convenu de faire un effort plus intense cette année lors de la Ste-Catherine (la plus grande fête de l’année à l’Institut axé sur le partage). Probablement que Dominick ou un autre de nos jeunes carnetiers pourra vous décrire de quelle ordre ($) sera notre contribution cette année et quels autres moyens nous aurons trouvés pour leur exprimer notre solidarité… Merci de nous interpeller sur ce drame aussi épouvantable qui secoue un peuple déjà passablement éprouvé.
Réponse rapide !…
Merci bien.
Pour répondre à tout le monde…
Premièrement, il est vrai que je suis en voyage, plus précisément en Louisiane, mais j¹ai accès à internet au bureau d¹avocat de mon parrain ou tout simplement à sa maison. Le seul problème que je rencontre est que mon clavier est en anglais puisque je n¹ai pas emmener mon portable; donc, vu mon clavier, je ne peux mettre des accents partout, seulement où Word me le souligne. Pour répondre à votre question M. Beaulé, je crois qu¹il serait difficile de lancer un projet comme celui-ci pour venir en aide au Haïtiens car le projet des dessins a été crée par l¹Infobourg et nous avons participé. Je crois qu¹il faudrait qu¹on organise une activité. Nous vous en dirons sûrement plus sur nos projets et sur le déroulement de la fête de le Sainte-Catherine dans les prochains jours, mais nous gardons votre idée en tête.
Message reçu.
Merci.
Beau témoignage Internet/Haïti à propos de Québec-écoliers,
il y a quelques minutes, en rapport avec Haïti, sur Haiti Press Network,
et qui va bien avec ce dont on vient de parler ici depuis dimanche.
Le voici reproduit ci-dessous, à partir de :
http://haitipressnetwork.com/news.cfm?articleID=5400
Mercredi 6 octobre 2004
Des écoliers québécois solidaires d’Haïti après le passage de Jeanne
Petite contribution, grand geste de solidarité. Des
écoliers québécois ont récolté 328 dollars en signe de
de solidarité aux populations sinistrées d’Haïti après le
passage de la tempête tropicale Jeanne à la mi-septembre.
« Ce sera une goutte d’eau dans l’océan de ses besoins.
Mais ce sera peut-être pour des enfants un formidable
robinet de sensibilisation à la misère d’ailleurs »,
a estimé le journal Le Soleil sur son site Internet.
Une douzaine d’écoliers de quatrième, cinquième et sixième
années de l’école Montessori de Sillery ont contribué à
préparer et à servir 82 dîners à leurs camarades, hier,
au profit des Haïtiens, a rapporté le journal.
« Le tout a été initié et supervisé par l’enseignante
Marie-Josée Broudehoux, qui effectue une revue de presse
chaque matin avec ses élèves et qui ne rate aucune
occasion de prise de conscience. »
« Maxime Saint-Louis, 11 ans, a été en quelque sorte son
bras droit dans ce chantier. En tant que trésorier de
l’organisation, mais aussi en tant que relationniste
auprès des médias, en plus de faire sa part aux cuisines
et au service », a conclu Le Soleil.
JEC
Merci beaucoup M. Beaulé pour ce commentaire qui rapporte une initiative inspirante pour nous. L’école de M. Dubuc est membre de notre fédération (FEEP).
Dans un autre ordre d’idée, vous semblez avoir développé un intérêt particulier pour les questions touchant Haïti. Avez-vous déjà oeuvré là-bas ? Votre expertise sur ce touche les Haïtiens dénote une sensibilité très particulière; sans vouloir me montrer trop indiscret, je suis curieux de connaître vos motivations. Remarquez que les événements épouvantables rapportés par les médias soient bien suffisants pour nous arracher le coeur.
Pendant ce temps, nous avançons dans la préparation de notre Ste-Catherine et sur le volet de ce que nous ferons pour ces gens durement touchés. À bientôt…
Bien vu…
Oui, j’ai (acquis et développé) une sensibilité particulière vis-à-vis Haïti. Ou, plutôt davantage envers les Haïtiennes et Haïtiens, où qu’ils soient.
C’est une assez longue histoire, dont je viens de raconter le dernier fragment (en un billet à part) à M. Fleury du Soleil.
Disons, à la fois pour remonter un petit peu plus haut dans le temps et pour résumer brièvement, que, il y a une dizaine d’années, j’avais dû ‘approcher’ une Haïtienne pour m’aider à me familiariser avec cette culture aux fins de mon mémoire de maîtrise. Quelques années plus tard, celle-ci m’a introduit beaucoup plus avant au sein de sa communauté en me recommandant pour travailler dans un organisme haïtien. C’est ainsi, essentiellement, que se sont amplifiés mes intérêts et mon ‘réseau’ concernant l’haïtienneté.
Je ne suis pas allé là-bas (en Haïti). Mais j’y «accompagne» — de toutes les façons, sauf au sens strict — une jeune Gonaïvienne qui m’est chère et qui m’a confié, il y a un mois et demi, être incapable d’envisager de faire sa vie au Québec.
Comme vous pouvez le voir, mon intense et vif intérêt pour Haïti même, i.e. pour Haïti en…Haïti, repose éminemment en ce moment sur le fait qu’il n’y a pas d’autre moyen de… faire plaisir à cette amie que d’oeuvrer à ce que ç’aille mieux en son pays, pour qu’elle (y) soit heureuse.
Or, si ça se met à aller mieux là-bas, il pourrait n’y avoir pas qu’elle à être contente… Ce qui rend plus stimulant encore ce défi. Car défi il y a. On a en effet tout à parier que ça n’ira pas mieux en Haïti l’an prochain que l’an dernier. Alors, pour parier le contraire, faut (y) croire et aussi être prêt à travailler fort ainsi qu’«ingénieusement» (i.e. avec astuce…) pour ‘triompher’ du «malin»… 😉
Comme les pensées sont belles! Je suis tombé sur votre site en naviguant sur internet par hasard. Étant une jeune enseignante, j’ai trouvé la philosophie de Montessori très intéressante. C’est ma manière de voir l’enseignement! Même si plusieurs essaient de me désillusionner sur ma passion de l’enseignement, je continue d’avancer en croyant fortement pouvoir arriver à enseigner comme j’aimerais le faire. Je crois que l’on peut apprendre beaucoup de choses dans la vie si nous avons l’intérêt! À nous de faire en sorte de rendre intéressant les apprentissages des élèves et de rester ouvert à apprendre d’eux!
Merci!
Monsieur Asselin et Dominick,
Considérant la sympathique rencontre ‘interéducative’ s’étant opérée entre quelques élèves de l’Institut (stjo) et moi à la faveur d’échanges virtuels récents en ces carnets, m’est revenu le souvenir de cette page du Soleil (3 octobre), que je savais avoir conservée, où de nombreux élèves de l’école figurent. (Je présume que cette photo ou cette page est encadrée ou affichée dans le bureau du directeur ou ailleurs dans l’école ?). Il y avait une autre raison à cette recherche de ce document que j’ai faite avec succès hier soir. C’est que j’avais vu, en l’un des carnets où ç’a «brassé» le mois dernier – (carnet auquel je n’ai pas participé – celui à propos de CHOI) – qu’il y aurait une règle stipulant de préserver l’anonymat des enfants sur l’Internet. Jusqu’à quel point ? C’est-à-dire, est-ce que vous devez changer les noms des enfants ? On dirait que non, car Dominick, lui en tout cas, est bien identifié par son prénom au moins. Ou suffit-il de taire le nom de famille ?
J’ignorais tout à fait l’existence de cette règle. Et je me demande, dans une ville telle Québec, comment il peut être possible de rester anonyme, lorsqu’on sait qu’il s’agit d’élèves de 6e de l’Institut Saint-Joseph ?
S’il s’avérait (très) impératif de préserver l’anonymat des enfants sur Internet, ça impliquerait presque soit que ceux-ci ne se manifestent pas (identifiés) en quelque autre média au moyen duquel on peut facilement les identifier par association/recoupement, ou que le (pré)nom soit un pseudonyme sur Internet. Ce qui n’est pas le cas (du moins concernant Dominick). J’aimerais en savoir un peu plus à cet égard. Comme, par exemple, lorsqu’advient qu’on apprenne, nous, l’identité de l’un des enfants écrivant sur Internet, est-on tenu de ne la dévoiler à quiconque, i.e. de faire comme si on ne la connaissait pas ? Ou s’agirait-il là du genre de ‘secret’ qu’on ne peut dire à plus d’une couple de personnes à la fois ?… 😉 Tels les propos racistes (et autres semblables), qui peuvent être tenus en privé, en famille, mais non publiquement ?
Joyeuses Fêtes à tout le monde
et Bonnes vacances lorsqu’elles arriveront…
« Jusqu’à quel point peut-on préserver l’identité des élèves dans le contexte de nos initiatives sur le Web ?
Cette question est l’objet de nombreuses discussions à l’école. D’entrée de jeu, je suis prêt à convenir de deux points:
1- Il est de notre devoir de ne pas divulger sur nos espaces de publication des renseignements nominaux qui permettraient à des internautes d’identifier un élève. Nous nous efforçons de ne permettre que la diffusion du prénom et de la première lettre du nom de famille. Puisque nous exerçons un contrôle à posteriori, il nous arrive de devoir « retropublier » pour faire respecter cette consigne…
2- Malgré cette politique, pour certains élèves aux noms moins communs, il est possible pour des personnes qui cherchent absolument à identifier un élève, de faire des rapprochements avec plus ou moins de marge d’erreur. Quand un de nos élèves est cité dans un média, ce rapprochement devient plus facile à faire. Pour que son nom paraisse dans le média en question, je présume que le média en a obtenu la permission des parents. Je ne me sens pas « délivré » pour autant de mon oblligation de protéger la divulgation des renseignements nominaux.
Tout ceci pour vous dire que nous sommes préoccupés par les questions que vous soulevées dans la mesure où certains de nos élèves « carburent » à la reconnaissance (et d’autres pas) et qu’il nous faut agir en éducateurs responsables et respectueux des droits de chacun. Il est évident, rendu là, que nous devons faire du cas par cas. Pour certaines familles (je ne donnerai pas d’exemple, mais vous pouvez penser à certains de nos élèves les plus « célèbres »), cette dimension de protection de l’anonymat de leur progéniture devient presqu’impossible à faire même si nous continuons à ne pas permettre la publication du nom et du prénom. Dans plusieurs cas, les rapprochements ne peuvent qu’être faits par des personnes de la famille ou des personnes qui « disposent d’informations privilégiées » (amis, famille élargie). Lorsque ces gens font des commentaires ou interviennent nous leur demandons de ne pas permettre que les informations qu’ils divulguent puissent permettre d’identifier des élèves. Lorsque le contrôle à posteriori conduit à penser que c’est le cas, nous intervenons… et retropublions, s’il le faut. Parfois, on enlève la fonction qui permet de faire des commentaires comme c’est arrivé sur le billet auquel vous faites référence…
OUF ! Trop longue réponse probablement, mais combien nécessaire, car c’est un sujet qui en vaut la peine.
Notre cheminement n’est pas terminé là-dessus. Ce site nous aide (http://www.media-awareness.ca/francais/projets_speciaux/toile_et_les_jeunes/index.cfm) et les contributions comme les vôtres également. Merci…
Intéressante (et complète) réponse. Merci.
Qqch m’a bien fait sourire : le désir de reconnaissance que peuvent difficilement ne pas éprouver, comme vous dites, certaines de vos vedettes…
Ils/elles doivent trouver cela «dur», eux/elles, de devoir rester anonymes, alors qu’ils/elles aimeraient tout au contraire devenir avantageusement connus (dès maintenant).
« Joyeux Noël »
Joyeuses Fêtes
Et heureuse nouvelle année
‘monsieur le directeur’…
Ne lâchez pas…
Vous semblez être souvent (longtemps) à l’oeuvre.