Chad Dickerson pose cette question sur ce billet avec en sous-titre : « Your staff may already be using one of the most productive collaboration tools ever built.
Il n’a jamais si bien dit… À l’Institut, nous expérimentons le travail collaboratif assynchrone au contact de ce fabuleux outil depuis septembre. Des membres peu familier avec la publication Web avaient peine à s’imaginer contribuant de cette façon à publier sur le Web. La semaine qui vient de se terminer a apporté son lot de surprises pour un directeur qui se disait que « démarrer un site collaboratif demande du temps ». Je crois que la phase démarrage est maintenant bien enclenchée.
Nous utilisons le wiki régulièrement de trois façons pour l’instant. Un premier type d’utilisation n’est pas accessible au public. Il sagit de nos réunions de Pavillon. Entre les réunions, nous construisons le menu de ce que nous allons discuter au fur et à mesure que les idées viennent. Les membres du personnel inscrivent les rubriques à mettre au programme agrémentées parfois de certaines justifications. L’historique des modifications de chaque page correspondant à un pavillon nous informe de « qui a fait quoi » et cela nous mène à la journée même de la réunion où nous construisons le projet d’ordre du jour. La réunion a lieu et, quelques instant après, l’essentiel de ce qui s’y est dit se retrouve sur la page. Dans les heures qui suivent, chacun peut y valider le contenu, y apposer sa marque et même, y corriger certaines imperfections… Ensuite, le jardinier que je suis crée une nouvelle page qui hébergera le contenu de cette réunion et recommence la boucle avec un retour « au tableau blanc » en vue de la prochaine réunion. Notre compte-rendu est agrémenté d’hyperliens vers d’autres pages Web et les MotsWikis mènent à autant de pages qui permettent de créer du sens…
Mais l’utilisation la plus percutante, heureusement, est publique. Elle concerne un projet en mathématique. Nous avons débuté notre travail le 4 octobre. Depuis, soixante-quinze versions différentes des pages wikis ont été construites par les enseignantes et les personnes impliquées dans le projet. Des notes de la première réunion en passant par les traces laissées par les premières activités et plus récemment, par ces propos sur la suite de l’expérience, l’expérience est très stimulante. Au-delà de ce qui peut transpirer du wiki, l’expérimentation pédagogique est, de beaucoup, facilitée par l’outil de construction de nos apprentissages en tant que pédagogue. Le fait de pouvoir échanger en conservant toute les traces, le fait de pouvoir communiquer sans être au même moment au même endroit, le fait de pouvoir objectiver, le fait de se soutenir et surtout, le fait qu’un fil de nouvelles nous informe de toutes les modifications favorise la co-élaboration ! J’anticipe déjà le plaisir de continuer de suivre le déroulement du projet qui, sans le wiki, ne pourrait se dérouler avec autant de cohésion et d’efficacité.
Enfin, je tiens à nommer quelques pages ou sections qui continuent de me fournir des arguments quand vient le temps de nommer les lieux de fiertés associés à notre wiki :
– Tous le matériel découlant du Mini-colloque du mois d’août.
– Les pages qui regroupent les informations entourant le travail de certains (1 et 2) de nos comités de travail.
– Sans parler de certaines pages sur des activités thématiques, comme la Ste-Catherine, et le développement de notre thème de l’année.
Nous en sommes à nos premiers mois d’expérimentation et déjà, ma prédiction semble vouloir se réaliser…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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