Voilà une belle journée passée en Beauce, à la Commission scolaire de la Beauce-Etchemin. À l’invitation d’un copain directeur d’écoles, je participais à une journée d’échanges autour d’un projet de recherche action qui se nomme « S’ouvrir sur le monde ». Au centre des discussions, le développement de compétences au niveau interculturelle. Les participants étaient issus du secteur scolaire en grande majorité à l’exception de M. Robert Dutil, un homme d’affaires très engagé sur le plan social.
La journée a passé comme un coup de vent. L’intensité et la richesse des témoignages ont eu tôt fait de nous convaincre que nous étions au bon endroit, au bon moment ! D’abord, je suis très heureux d’avoir fait la connaissance de M. Jacques Proulx, un professeur du département de psychologie de l’Université de Sherbrooke. En matinée, il nous a offert sa vision de cette problématique à partir de sa vaste expérience de voyages partout dans le monde et surtout, son expertise à côtoyer des gens préoccupés par le même sujet de l’intégration culturelle. J’ai bien aimé ses « allégories » (celle de l’orange + de la giraffe et de l’éléphant + les lunettes bleu et jaune), son concept des « post-jugés » et le rôle de l’affirmation/ouverture dans nos rapports aux autres.
Il est clair que l’apprivoisement des différences passe par le dépassement des « murs » qui nous empêchent de voir les gens tels qu’ils sont au lieu d’une représentation basée sur une sélection des informations « qui font notre affaire » et que nous conformons à une certaine catégorisation des personnes ! Pour le reste, nous avons traité de chocs culturels, des façons d’exposer les jeunes à des environnements différents en bas âges, des caractéristiques d’une personne « qui sait voyager » et des occasions à saisir pour enseigner ces attitudes et ces habiletés sociales. Encore ici, l’éducation à la citoyenneté a été au centre de nos préoccupations !
Un dernier mot pour dire que nos travaux devraient se continuer sur un wiki (adresse à venir); quant à moi, il me restera aussi à apprécier le potentiel éducatif d’un petit livre écrit par M. Dutil qui, décidément, a tous les talents… Cela sans compter que cette journée m’a fortement inspiré à écrire une lettre ouverte aux médias sur le sujet des collaborations possibles entre intervenants des deux réseaux, privé et public. Pendant l’allocution de M. Proulx, je n’ai pu m’empêcher de constater combien nous avons à gagner, chacun de nous, en adoptant une stratégie « et »/ »et » au lieu du « ou »/ »ou » qui caractérise souvent les rapports gagnants/perdants des conflits stériles… Je publierai le contenu de la lettre sur ce carnet dans les prochains jours.
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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