Si le moi d’avril a été actif, il faut voir ce que le mois de mai annonce. Dès dimanche soir, réunion de concertation des intervenants à la rencontre Nationale sur la réforme de l’éducation. Cette rencontre de deux jours me permettra de rencontrer Guy Le Boterf qui nous livrera ses hypothèses de travail sur le développement des compétences collectives. Il s’inspirera probablement de son livre. Un extrait :
« Le développement des TIC n’entraîne pas automatiquement des pratiques de coopération efficace. Elles peuvent y inciter et constituer un moyen puissant pour y contribuer. (…) Le développement de la coopération est une responsabilité partagée. Pour que les personnes interagissent avec compétence dans une organisation, le management, le dispositif de formation et les personnes elles-mêmes doivent apporter leur contribution spécifique. »
J’ai bien hâte de partager avec les participants les façons dont je me suis pris pour privilégier la coopération active des membres de mon personnel (mise en commun des compétences individuelles) de façon à développer la compétence collective qui était essentielle pour réaliser notre projet de la classe « communauté d’apprentissage » ! C’est ce que je tenterai d’apporter comme contribution mardi après-midi lors d’une table-ronde sur la gestion et le développement des compétences collectives en réseau. Pour l’instant, j’ai remis ce document aux autorités du MELS (.pdf) pour fins de distribution aux participants, mais j’aurai l’occasion de publier ici l’essentiel des propos que je tiendrai lors de cet événement…
Dans la même semaine, j’assisterai à l’assemblée générale des d.g. des écoles privées de la province. Ce dernier contact en tant que collègue me promet bien des émotions. Lors de la journée de jeudi, j’aurai l’occasion de renouer avec Thomas de Koninck qui nous fait l’honneur d’une conférence, « Raisons communes ». J’aurai sûrement quelques instants pour en rapporter, ici, quelques extraits. Aussi, ce sera pour moi une bonne façon d’introduire Mireille au groupe des directeurs, directrices; c’est important qu’elle se sente rapidement à l’aise avec ses nouveaux collègues !
Même si beaucoup de démarches visant à transférer quelques manières de faire sont déjà entreprises, il reste encore beaucoup à faire ce qui occupera plusieurs journées à l’école. Au travers du quotidien, j’aime bien ces moments de partage avec chacun.
Vers la mi-mai, j’aurai le grand bonheur de retourner de l’autre côté de l’Atlantique pour une rencontre qui promet. Je me considère privilégié d’être invité à présenter dans ma langue maternelle (.pdf) notre expérience des cyberportfolios aux participants de ce séminaire de l’IUFM de Dijon. Tout comme je l’avais fait lors de ma visite à Autrans en janvier 2004, je me promets de prendre beaucoup de temps pour livrer mes réflexions et mes apprentissages. La thématique du Séminaire, « Le portfolio numérique dans la formation : le cas du C2i enseignant », me semble un forum parfait pour continuer ma recherche de sens dans l’utilisation de ce puissant outil au contact de nouveaux intervenants.
En plus d’animer une journée pédagogique auprès des enseignants de l’Institut sur le thème de la réussite différenciée des garçons et des filles, j’aurai l’occasion de recevoir la visite annuelle d’un groupe de jeunes élèves de la région de Chicago qui viennent à Québec en quête d’immersion francophone !
Et puis le mois de juin qui marquera la fin de cette année scolaire extraordinaire. Mais avant tout, gardons le focus sur les pas à faire pour apprendre à quitter tout en apprivoisant le fait d’oeuvrer au service de plusieurs milieux scolaires à la fois !
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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