Un nouveau levé de soleil s’offre à moi ce matin à Vancouver. Quand je regarde au loin, du balcon de mon hôtel, je vois d’un côté la mer et d’un autre les montagnes qui portent un chapeau blanc… Ça réveille bien ! J’avais grand besoin de sommeil; la journée d’hier avait été pleine. À la fois énergisante et épuisante.
Avant d’entreprendre cette nouvelle journée de conférences, je peux prendre quelques minutes pour « ramasser » ce qui reste de mon expérience d’hier. Évidemment, mes préoccupations étaient centrées autour de mon intervention qui s’est faite en P.M. Dès mon arrivée à Vancouver, je me suis rendu compte que ma présentation était attendue. Notre présence à Montréal en novembre (Sébastien et moi) avait créé des attentes… Raison de plus pour visualiser encore davantage le contenu préparé histoire de livrer le tout dans mon « meilleur anglais » !
Ça c’est très bien passé. «Tu t’es très bien fait comprendre» m’a-t-on dit. De fait, j’ai bien senti le courant passer. Quand on sort d’une intervention comme celle-là et qu’on n’a plus une minute jusqu’au moment de fermer l’oeil tellement il y a de gens qui viennent échanger avec vous, c’est que les idées ont touché.
Quoi dire pour conserver l’essentiel des réactions ? Parler des bons mots de Peter Donkers à la fin la journée, des conversations avec Paul et Darren à propos de l’initiative du Minnesota, ou de celles avec le « personnage » Helen Barrett. Mais je suis en train d’oublier de nommer l’approche de Michael (d’Avenet efolio) en matière de marketing ou la réflexion de Uri à propos de la liberté de ne pas posséder de « titre » et enfin, des multiples conversations avec Maggie qui était assise à la même table que moi pendant les présentations et qui s’est montré très intéressée par l’outil des cybercarnets dans le contexte de ses efforts d’implantation des eportfolios au British Columbia Institute of Technology. Ce n’est pas la seule d’ailleurs; « le blogue » est tendance (comme dirait quelqu’un de ma connaissance) ici aussi…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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