Il était attendu. Debout derrière la salle au moment où le conférencier précédent terminait son allocution, Jean-Marc Fournier jauge l’ambiance de la salle. Il monte sur la tribune sous la salve d’applaudissements d’usage pour un personnage de son importance. Nous constatons rapidement que l’homme est un politicien aguerri. « Rien dans les mains/rien dans les poches » !
Il avouera qu’il est un ancien membre du conseil étudiants du Collège de Montréal. Il dira aussi que nous sommes le premier grand groupe réuni en assemblée qu’il a l’occasion de rencontrer («hasard d’agenda» s’empresse-t-il d’ajouter). Il s’adresse à nous en ayant mis de côté les notes qu’a dû lui préparer ses attachés politiques…
Il est question du rapport Gervais, du dossier de l’entretien des immeubles, du transport scolaire, de la réforme de l’éducation et du dossier du renouvellement de la clause dérogatoire concernant l’enseignement religieux. Surtout, il aborde la question des prétendues économies qui résulteraient d’une migration de la clientèle du privé vers le public. Il affirme ne pas y croire, bien qu’il se considère toujours à l’écoute de ce que «ses partenaires» ont à lui dire. En ajoutant que prononcer le mot « privé » se fait au parti Libéral, il se positionne quand même un peu !
Il en profite pour lancer un petit « jab » à ceux qui provoquent des lock-out en disant qu’il est contre autant qu’il est contre la grève ! Il parle d’un ton ferme, il badine parfois, utilisant l’humour à bon escient et finalement, il n’annonce rien que nous ne connaissions déjà…
Vraiment, difficile d’évaluer sa performance; un « pas de note » est la seule formule qui s’impose au sortir de cette visite de courtoisie !
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Opinion
Je ne vois vraiment pas ce qu’un avocat vient « foutre » comme ministre de l’éducation, non obstant l’équipe qu’il peut avoir. Fournier a la langue fourchue : abolir l’enseignement religieux, mais dans trois ans, en est une preuve.
Il a aussi peu de compétences pour ce poste que la pauvre Michelle COURCHESNE en a pour le poste de ministre de la solidarité sociale.