Selon cette nouvelle, un directeur d’école serait allé jusqu’à « arranger » les notes de certains élèves de façon à maintenir « l’excellente réputation » de son école au palmarès des mieux cotées.
Voilà une nouvelle étape de franchie dans cette démarche (le classement et tout le tralala) fortement teintée d’ineptie. Je connais l’isolement inhérent à la fonction de directeur, mais là… voyons-donc !
C’est peut être pour des histoires comme celle-là qu’existe dans certains établissements scolaires cette idée qu’il serait plus valorisant de ne pas avoir de bons résultats à l’école de façon à éviter d’être complice d’une certaine « obéissance sociale » dans ce contexte vicié à la base !
Ce soir, je ressens le besoin de crier mon dégoût de cette initiative qui décourage les jeunes à se dépasser ! Je crois à l’émulation et aux encouragements à atteindre de hauts standards, mais pas dans ce climat de magouilles érigé en système.
Une nouvelle comme celle-là a son bon côté : il s’est fait « pincer » le monsieur qui « jouait le palmarès ». Mais faudrait pas oublier que nous sommes tous complices quand on agit de façon à laisser croire « que la fin justifie les moyens » ! Avant de tirer la première pierre au Monsieur, je vais regarder dans ma cour… mais dans l’esprit qui m’anime devant mon clavier, me semble que ça ferait du bien de pointer des coupables.
Du bien ?
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