Je viens de mettre la main sur la copie papier du discours de M. Boisclair (ici ici, on peut visionner écouter son allocution). Il y a quatre propositions pour les enseignants qui attirent immédiatement mon attention :
- Réduire le nombre d’élèves par classe d’au moins 10% de la troisième année du primaire à la première année du secondaire dans toutes les écoles en milieux défavorisés.
- Augmenter le nombre de ressources spécialisées en milieu éducatif.
- L’ouverture des écoles de 8 à 17h.
- Création d’un Fonds des communautés pour la réussite.
Je publie avant qu’il ait lu le texte, donc j’espère que la parole dite correspondra au libellé remis…
Tags: "Administration scolaire" "Conseil national du PQ juin 2006" Blogueur-reporter
Bonjour Mario et TLM
Mario, j’ai cliqué ton lien ici : j’arrive bien à télécharger le MPG, mais tout ce que j’entends, c’est « les (ou mes) premiers mots », puis plus rien.
Réduire une classe de 36 élèves de 10% en ferait une classe de +32 ; comme je l’ai déjà écrit avant sur ce blogue, 24 élèves, quoiqu’économiquement utopique serait le chiffre à atteindre, à mon humble avis…
Quant à l’école de 8 à 5, je ferais un genre de référendum, auquel pourraient participer tous les élèves, les parents et aussi les enseignants, attendu que c’est tout ce beau monde qui devra vivre avec une telle proposition…
Je vais changer le lien vidéo pour un fichier en mp3; au moins, le son sera disponible…
Merci à toi du feedback.
Il me semble que la proposition d’ouvrir l’école de 8 à 5 ne veut pas dire offrir plus d’heures de cours, mais simplement augmenter les activités parascolaires, l’aide au devoir et ainsi de suite. Ça ne changerait rien à la tâche de l’enseignant.
Ouvrir de 8 à 5 ? Je la trouve bien bonne. Les écoles primaires sont déjà ouvertes de 6h30 à 18h30 chez nous… Et il y a du monde dans les écoles secondaires jusqu’à 22h presque tous les soirs !!! Est-ce que ça veut dire qu’il faudra écourter les heures d’ouvertue ??????? : )))
Je ne pense pas qu’il va falloir écourter les heures d’ouvertures. Ça veut peut-être simplement dire que les partis politiques ne sont vraiment pas au courant de ce qui se passe dans le monde de l’éducation.