J’entends et je lis souvent ce mot, « fasciste ». Il porte une charge affective très forte parce qu’il fait référence à Mussolini ou à Hitler. De nos jours, le terme semble être utilisé à toutes les sauces. Dès qu’une personne prend du pouvoir, dès que ce pouvoir est soutenu par une certaine adhésion populaire et que son « détenteur » frôle avec la démagogie (utilisation d’un discours simpliste qui dénature la vérité pour s’attirer de la sympathie), on lui balance cette insulte suprême : « espèce de fasciste ».
Mon copain Clément est intervenu sur son blogue à ce sujet récemment, pour dire que « c’est un mot avec lequel l’histoire nous interdit de badiner ».
Hier soir, j’aurais eu le goût de faire la même chose auprès de Victor-Lévy Beaulieu qui associe Guy A. Lepage au fascisme, à l’inquisition (autre terme à forte charge affective utilisé pour désigner «quelqu’un qui fait subir un interrogatoire en règle sans en avoir le droit moral», source) et à Ponce Pilate (celui qui a condamné Jésus à mort et qui s’en est lavé les mains après…).
Mais je me suis dit que ça ne valait pas la peine. Monsieur VLB est ce genre d’individu qui doit bien connaître ces gros mots et qui, j’imagine, les utilise justement parce qu’il sait que c’est grave. Le problème, c’est qu’à force de balancer ce genre d’insultes à tout vent, on va finir par faire croire que le Führer et el Duce, c’était juste des genres de Guy A…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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La réplique de Guy A est à lire pour qui veut la suite de cette histoire…