Je me doutais bien que c’était pour arriver. En août 2005, j’écrivais que nous avions intérêt à regarder du côté de la Radio Pirate du groupe de Jeff Fillion pour trouver un allié naturel à notre cause de faire de Québec une cité sans fil. Après avoir regardé le topo à TVA de cette semaine, un recherchiste de l’équipe de cette radio parallèle m’a rejoint pendant que j’étais à Montréal pour me proposer une petite visite en studio, à Québec jeudi matin. Je me suis rendu tel que prévu pour 9 h…
L’homme n’est pas un hôte ordinaire. Je me doutais bien que ce moment de radio que je m’apprêtais à vivre me réserverait des surprises. Dans ma tête, je me disais que j’étais pour être là cinq/dix minutes en entrevue et que je devrais syntoniser l’émission sur Internet pour savoir comment «mon pitch» aurait passé. C’était mal connaître la passion de l’animateur pour le Web et les nouvelles technologies. Nous avons passé plus de trente minutes à échanger. Une conversation comme je les aime. Le gars de radio que j’avais en avant de moi n’était pas qu’un animateur; il éprouvait un réel intérêt pour notre projet, pour l’Internet en général et je me suis pris à aller beaucoup plus loin que je ne l’avais imaginé ce matin-là. Nous avons parlé de blogues, de journalisme citoyen, de business et de Zap-Québec, bien entendu. Par l’entremise de contact du groupe de Zap-Québec, nous avons pu mettre la main sur l’enregistrement de l’émission et ma foi, c’est sûrement la jasette la plus «profonde» que j’ai eue avec quelqu’un de «public» si je puis dire, sur ce sujet des nouvelles technologies. Le podcast avec Loïc est probablement ce qui se rapproche le plus de ce que nous avons fait en onde ce jeudi dernier. Le fichier mp3 permettra à chacun de juger par lui-même; une longue conversation de «trippeux»!
Pour ma part, je nous revois à se regarder souvent dans les yeux pendant ces minutes et je me souviendrai d’avoir éprouvé beaucoup de plaisir en compagnie de l’équipe de Jeff Fillion. N’importe quand…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Excellente entrevue.
Pour ZAP-Québec, belle explication, je pense qu’il faudra rendre encore plus concret « ce qu’on souhaite voir naître de l’existence d’un réseau aussi ouvert ». Indispensable.
Concernant les Têtes à claques, l’estimation des coûts de la bande passante me semble un peu exagérée, pas toi?
Et finalement, concernant l’achat de YouTube par Google, le meilleur texte que j’ai lu sur le sujet est ici:
http://ondemandmedia.typepad.com/odm/2006/10/how_youtube_wor.html
Je ne pense pas que ce soit seulement de la spéculation… c’est aussi une analyse média assez « traditionnelle ».
Et peut-être une des premiers « aveux » de Google à l’effet que la « puissance algorythmique » ne peut pas suffire… il faut aussi « la puissance du monde ».