Faryel Mouria-Beji est enseignante à l’École National des Sciences de l’informatique. Sa présentation de l’expérience tunisienne est énergique. La façon dont elle s’exprime en arabe, laisse paraître beaucoup d’émotion. Sa prononciation des mots est rapide; les «rhahh» qui viennent de sa gorge jumelés à son débit incroyable sont évocateurs de l’intensité avec laquelle elle aborde le défi de l’intégration des TIC aux apprentissages!
À partir des notes en français distribuées, je peux résumer l’essentiel de son allocution. Sur le sujet des équipements, il est question de la présence d’au moins un ordinateur par classe d’ici 2009 puisque le taux de branchement à Internet est de 100% dans les écoles préparatoires et lycées secondaires. Actuellement, la connexion est rarement en haut débit, mais pour 2011, on devrait y arriver incluant le lien pour les écoles primaires. On a prévu des programmes de formation à l’échelle locale et nationale pour tous les enseignants administrateurs et techniciens du réseau scolaire. Mille participants participeront à des écoles d’été et plus de trente mille employés du réseau de l’éducation auront à court terme une adresse Internet et un compte sur le réseau du ministère.
Au niveau des programmes, la généralisation progressive de l’informatique dans l’enseignement secondaire est à portée de mains. Des services de formation à distance sont à développer par l’École Virtuelle Tunisienne, la bibliothèque virtuelle éducative et l’École Ouverte des Travailleurs. Dix laboratoires mobiles équipés chacun de trente portables branchés sans fil par la technologie VSAT sont en expérience pilote dans les écoles rurales rejoignant 4 500 élèves jusqu’à maintenant. Ces laboratoires se déplacent en bus dont j’ai pu voir les photos. Certaines de ces photos témoignent d’un accueil des bus sous les tambours et trompettes…
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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