Il est 13 h. Nous connaîtrons dans quelques minutes le nom de la personne qui dirigera l’éducation au Québec pour quelques mois/années. Il semble assuré que M. Fournier continuera son parcours politique dans une autre sphère d’activité. J’aurai l’occasion de revenir sur son bilan…
Mais cette après-midi, je me demande… Si vous aviez deux minutes ce soir avec ce nouveau ministre, homme ou femme, vous lui parleriez de quelle action en terme de premier geste à poser?
Du concret, allez…
Promis, je vais me mouiller moi aussi ce soir.
Mise à jour de fin de journée: L’heureuse élue est Michelle Courchesne, députée de Fabre.
Mise à jour de fin de soirée: Et si le «silence radio» sur ce billet voulait dire: «On n’attend plus rien de concret d’un ministre de l’Éducation?» J’espère que c’est pas ça…
Mise à jour de début de nuit: Il y a bien meilleure réflexion politique à lire qu’ici. Pour apprendre sur la notion de «plafond de verre» c’est la chronique du patio de ce soir qu’il faut lire.
Mise à jour de milieu de nuit: Certain ont le clavier acerbe, en particulier, le prof malgré tout, mais comme il n’est pas méchant pour deux cennes, je lui décerne la palme du «maux de bienvenue le plus sportif» de la soirée. Tant qu’à être dans les saveurs politiques, ce vieux billet de Jean Trudeau représente un point de vue qui vaut la peine d’être médité…
Mise à jour de vendredi, 20 avril: Mme Courchesne a trouvé son premier dossier: «freiner l’exode des enseignants». L’actualité mène l’agenda d’un ministre…
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Les ministres passent, les hauts fonctionnaires restent.
Je n’attends plus rien de concret d’un ministre de l’Éducation, effectivement.
Pour répondre à la question « Si vous aviez deux minutes ce soir avec ce nouveau ministre, homme ou femme, vous lui parleriez de quelle action en terme de premier geste à poser ? », je l’ai posée à ma colocopine.
Elle m’a répondu qu’elle suggèrerait qu’au premier cycle du secondaire soit instauré le « team teaching », bref, en bon français, qu’il y ait deux enseignants par classe.
J’ai répondu à cette même question en répétant que les classes devraient être réduites à un maximum de 24 élèves.
Certes, ces deux mesures coûteraient des bidoux, mais elles créeraient de l’emploi ; de plus, j’estime que les élèves en sortiraient gagnants !