Bloguer. Quelle belle activité.
Dans les derniers jours, il m’est passé par la tête au moins vingt billets que je n’ai pas écrits. J’ai commenté sur les blogues des autres bien davantage que je n’ai alimenté le mien et je me sens comme dans un espèce de manque. La grande majorité de mon temps passe à pousser sur les projets en cours puisque je serai absent du Québec jusqu’à dimanche. J’agis en fonction du fait qu’on ait le moins souvent possible besoin de moi pendant que je serai à Paris même si à distance, je peux quand même continuer à collaborer avec ma gang, ici au Québec. J’aurai probablement un peu plus de temps dans les prochains jours pour bloguer; «les jeudi du Préau», le premier social des entrepreneurs/blogueurs de Paris à la façon YULBIZ et bien d’autres rencontres me fourniront beaucoup de matière première.
À la veille de ce départ, mes pensées sont avec Roberto qui blogue lui en direct de Nairobi (voir ici aussi). Quelle expérience il s’apprête à vivre…
Je ne peux m’empêcher d’anticiper les discussions sur le beau sujet de la politique au Québec et en France en compagnie de Clément. Côté événement, dans les dernières semaines, nous ne manquons pas de matériel à analyser. Sans compter que deux nouveaux blogueurs férus de politiques ont ouvert pignon sur Web de ce coté-ci de l’Atlantique depuis notre dernière rencontre de janvier (Joseph Facal, Michel Hébert). Aussi, je veux lui parler de ce truc, «Zoho Notebook».
Enfin, je veux prendre un peu de temps pour lire davantage les «edubloggers» américains que je rencontrerai fin juillet à Atlanta. À commencer par ce billet de David Warlick (rapporté par Jacques Cool):
Tags: "...à ce qui me fait plaisir" "Atlanta 2007" EduBloggerCon Pédagogie et nouvelles technologies « Paris 2007 »« Dans ce monde où l’information est de plus en plus réseautée, digitalisée et débordante, les trois «R» (reading, ‘riting, ‘rithmetics) représentent bien plus qu’avant…
- Ce n’est plus «peux-tu lire?», mais plutôt «peux-tu expliquer le contexte derrière le texte?»
- Ce n’est plus «peux-tu compter?», mais plutôt «peux-tu utiliser l’information numérique?»
- Et écrire sur papier ne suffit plus : «peux-tu exprimer tes idées de façon saisissante, pas seulement avec du texte, mais avec des images, du son, de l’animation et de la vidéo?» »