Le vaudeville péquiste est fascinant à observer. Ce matin, la manchette nous annonce que Gilles Duceppe cherchera à profiter du moindre faux pas du chef actuel du P.Q. pour s’amener à Québec. En fin de P.M., André Boisclair accorde une entrevue dans laquelle il déclare presque la guerre à son homologue bloquiste.
Gilles Duceppe n’a plus rien à perdre. S’il reste en poste, il ne pourra plus jamais compter sur la coopération des proches d’André Boisclair. De plus, son parti ne fera jamais un meilleur score que celui qu’il a fait en 2006. Il doit profiter de cette «ouverture» d’André Boisclair et annoncer sa démission en tant que chef du Bloc Québécois. Si André Boisclair s’accroche, il gagne à ne plus être à Ottawa. Si André Boisclair démissionne, il gagne encore…
Si j’étais Gilles Duceppe, je saisirais l’occasion et je démissionnerais sur le champ!
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Les péquistes ont un côté tragédie grecque qui finit par lasser. Autour de moi, les commentaires sont acerbes quant à toute cette saga du leadership du PQ. On en a marre de les voir passer leurs énergies en vase clos au lieu de s’ouvrir au Québec d’aujourd’hui et de regagner la confiance de l’électorat.
Qui a un peu de mémoire politique se rappelera que Gilles Duceppe a eu sa part de critique (le fameux bonnet…) et n’a rien d’un Messie.
Lentement mais sûrement, les péquistes sont en train de tuer leur option politique. Je sais qu’il y a des changements parfois nécessaires. Seulement, un jour, il faut se brancher.