Le tout Québec vibre aujourd’hui au rythme de l’envie d’entendre Bill Clinton en juin, au Centre des congrès. Parmi les thèmes de sa présentation, il semble que le 42e président des États-Unis «abordera aussi le rôle que peut jouer le Canada ainsi que le Québec au sein de cette nouvelle économie mondiale».
Justement hier soir, au téléjournal de Radio-Canada, j’ai pu prendre connaissance des théories de Clotaire Rapaille sur notre contribution originale du Québec, à la vitalité de l’économie Nord-américaine. Les États-Unis aurait une approche très «reptilienne», voire instinctive de ce qu’il y a à faire. Ça donne l’Irak et la mentalité plutôt brouillonne et improvisée du business, mais c’est parfois très payant de saisir l’instant présent. Ensuite, il y aurait le Canada anglais, très «cortex», plutôt cérébral, raisonable et un brin conservateur en affaire. Pas trop de risque et axé sur le contrôle. Enfin, pour compléter le tableau, il y a le Québec qui apporte le cerveau «limbique», les émotions, la créativité. Nous devrions assumer et être fier de notre culture, petite à l’échelle du continent, mais affirmée et empreinte d’humanisme…
Voilà tout. Voilà surtout pourquoi je n’irai pas écouter M. Clinton; le reportage de Radio-Canada est clair, gratuit et plutôt inspirant. Vous ne trouvez pas?
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Moi non plus je n’irai pas voir Bill Clinton. Cependant…
Je trouve que c’est vraiment trop généralisé comme vision. Je ne pense pas que tous les américains soient d’accord avec la guerre en Irak (il y a aussi des troupes canadiennes en Afghanistan, tu es d’accord Mario?), ni que leur vision des affaires soient si brouillonne.
Quand je pense à la créativité et l’originalité, il y a probablement 2-3 compagnies californiennes qui pourraient en parler un peu.
Je pense que le MIT, le Sloan Institute of Management et les autres grandes écoles de gestion réussissent un petit peu à rendre la gestion des affaires un peu moins instinctive qu’on pourrait le prétendre, et forment parfois des administrateurs très pragmatiques…
Tu apportes de bonnes nuances Michael.
Je ne crois pas que M. Rapaille donnait l’exemple de l’Irak en pensant qu’il y avait unanimité sur l’à-propos de déclencher la guerre. Je crois qu’il voulait simplement qualifier la décision de «sanguine», dans le sens où le tempérament des Américains en général est du type «impulsif». dans les «pour» comme dans les «contre»; ne sont-ils pas reconnus pour leur p’tit côté «showman»…
Pour le reste, j’admets que tout cela comporte bien des généralisations. Je trouve quand même que son raisonnement se tient assez bien, en particulier lorsqu’il situe la place du Québec dans cet «échiquier».
Bonjour Mario
Je comprends votre positionnement…d’autant que Bill Clinton aurait sans doute de « jolies histoires » à vous raconter : a lire cet article http://www.lekti-ecriture.com/contrefeux/Les-nouvelles-fictions-du-capital.html
Bonne journée