En après-midi hier, je voulais assister à l’atelier «New Tools, New Schools: Starting the Conversation about Web 2.0». Quelques noms connus et la nature du sujet faisaient en sorte que j’attendais beaucoup de cette heure. David Warlick a eu le temps de dire trois phrases, même chose pour Will Richardson. Lynne Schrum a plaidé quelques minutes pour l’importance de modéliser les bonnes pratiques et de collaborer pour les dénicher. Jusque-là pas de problème… Tim Magner, l’homme dont on parle dans ce billet nous a montré une carte très intéressante.
La situation s’est précisée quand Gwen Solomon nous a précisé le vrai but de l’atelier :«recueillir des témoignages pour un deuxième livre qu’on peut lui faire parvenir à son adresse courriel, Gwen_and_lynneBook2atyahoo.com. Il y a bien eu quelques partages d’expériences, mais la passion n’y était pas. La meilleure façon d’illustrer le climat serait de lire ce billet de Will: «The Problem in a Nutshell…The UnProblem in a Nutshell»:
«What it ended up being was about a total of 15 minutes total of actual conversation and 45 minutes of attempting to coax the audience into submitting best practices for the panel leaders’ new book about Web 2.0 tools in schools. Not to say that the ideas that many of the people submitted weren’t interesting and of value and worth listening to. But I have to say, I felt pretty used. And the total irony of the moment was that in this “Web 2.0? and “School 2.0? session that was supposed to celebrate the uses of the tools, the random notes were being taken on screen in a very un Web 2.0 tool called Microsoft Word. No transparency. No collaboration. No thought to sharing.»
Il ne faut pas toujours se fier aux descriptifs des ateliers…
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Je suis content de ne pas y avoir assisté. J’y ai pensé. Je ne sais pas si je serais resté jusqu’a la fin !