Je suis en pleine lecture du roman, «Extrêmement fort et incroyablement près» de Jonathan Safran Foer. Je suis rendu au tiers du roman. Deux passages m’ont profondément marqué voilà quelques jours et je ne peux m’empêcher de les rapporter ce soir dans l’esprit du site du copain Gilles, Au fil de mes lectures:
- «Mais si tu ne me dis rien, comment savoir si j’ai raison?» (p. 23)
- «Les gens croient que les castors coupent des arbres pour construire des barrages, mais en réalité c’est parce que leurs dents n’arrêtent jamais de pousser, et s’ils ne les limaient pas constamment en rongeant tous ces arbres, leurs dents finiraient par leur pousser dans le museau, ce qui les tueraient. Mon cerveau, c’était pareil.» (p. 52)
À ce stade-ci de ma lecture, je ne me sens pas prêt à bloguer sur le lien qui unit le père et le fils dans le livre. La première citation est très personnelle et ne sera peut-être pas conservée par Gilles dans son répertoire, mais quelque chose me dit que la deuxième pourrait l’être…
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