Je rencontrais deux personnes ce matin qui préparent un documentaire sur Québec qui, depuis 1608, rayonne dans plusieurs sphères d’activité. J’aurai l’occasion de reparler de ma contribution à ce beau projet qui met en valeur huit personnages d’hier. Je veux seulement retenir une phrase qui m’a été retournée par le producteur de la série…
Je dis «retourné» parce que l’activité de ce matin m’a conduit à raconter mon parcours scolaire d’apprenant et d’éducateur. Au moment où la rencontre se terminait, j’ai été surpris d’entendre un genre de résumé de mon approche actuel en éducation qui n’avait jamais été aussi «caractérisée» que par ces quelques mots…
«Votre idée de donner un public à des jeunes isolés dans des classes pour qu’ils apprennent de meilleures façons, je trouve ça bien… il fallait y penser!»
Je n’avais jamais entendu quelqu’un ramasser aussi succinctement (tout en provoquant une telle image) une des prémisses de mon action. Fallait y penser!
Tags: "...à ce qui me fait plaisir" "...à d'où je viens" "Administration scolaire" "Pédagogie et nouvelles technologies"
C’est l’histoire de l’apprentissage du violon qui te rattrape!
http://carnets.opossum.ca/remolino/archives/2005/08/apprendre_a_ecr.html
Très efficace synthèse de ton action, en effet!
On te cite ici à ce sujet:
http://mediacafe.blogspot.com/2007/11/lcole-et-les-mdias-mme-combat-ou-peut.html
[…] des huit épisodes de la série «Québec, depuis 1608». Je me souviens de la façon dont le producteur avait réussi à cerner le coeur de ma pratique éducative et c’est avec beaucoup d’anxiété que j’accueille le calendrier de diffusion qui […]