Il faudra aller ailleurs qu’ici pour lire ce que je pense de «l’affaire Roy, père et fils». Parmi tout ce qui s’est écrit, deux chroniques me paraissent incontournables si on n’a pas le coeur d’aller me lire chez CentPapiers; celles de Réjean Tremblay et de Yves Boisvert. Je viens de les lire ce soir, après avoir écrit mon texte en fin de P.M.
Ces jours-ci, des gens s’intéressent au hockey pour la première fois depuis quelques années. Pour les mauvaises raisons, bien entendu, mais ils n’ont pas vraiment le choix… le sujet est partout dans l’actualité! Quant à ceux qui «en mangent», ils sont servis à souhait parce qu’il y a beaucoup d’action en cette période où on en est dans le dernier droit de la saison.
Quelles leçons tirées des événements des derniers jours?
Le Colisée de Québec était rempli à craquer ce soir et le débat sur la fluoration de l’eau à Québec ne déclenchera aucune passion.
Dit autrement…
Nos bottines ne suivent pas nos babines.
Je ne juge pas. J’ai passé le peu de temps libre que j’ai eu aujourd’hui à réfléchir à ce que j’aurais fait si j’avais été le père d’un joueur de hockey évoluant dans le junior «majeur» en ce moment. Je pense que j’aurais pris congé pour être avec lui. J’aurais hésité entre m’excuser de ne pas lui avoir offert autre chose que le hockey comme activité ou je serais resté à distance, sans trop parler, en lui offrant simplement ma présence au cas où…
… au cas où il aurait eu envie de parler de d’autres choses que de hockey!
Mise à jour du lendemain: j’ajoute un autre incontournable… «Notre hockey», de Jean Dion au Devoir.
Mise à jour du 28 mars: Une consultation est lancée conjointement (MELS/LHJMQ) visant à enrayer la violence. Personnellement, je serais surpris qu’on «accouche» de mesures vraiment efficaces. Plus inspirante est la vision de l’ex joueur de la LNH Joé Juneau qui possède de réelles compétences pour lier éducation et développement du hockey; à preuve, son aventure au Nunavik. En voilà un dont ses bottines suivent ses babines… À lire peut-être aussi, «La Ligue nationale épie le hockey universitaire».
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Beau texte dans CentPapiers Mario et je reconnais là l’excellent éducateur que mon fils a eu la chance d’avoir en 1983-84 au Mont-Ste-Anne en Basketball benjamin!
Je souhaite depuis mes débuts comme éducateur physique de voir le hockey être pris en charge par le milieu étudiant mais, hélas, sans soutien financier sérieux du MELS et de partenaires la mission est presqu’impossible; nous avons toujours nos ligues de hockey sans contact mais qui s’y intéresse vraiment chez nos politiciens?
Merci de ces bonnes paroles Guy. Ton commentaire m’a ramené au temps où on avait fait un tournoi scolaire avec notre équipe de hockey du Mont-Ste-Anne dans les années 80… Beaucoup de gens ont travaillé fort (et travaillent encore) pour que le hockey soit confié au scolaire et il ne faut pas désespérer.
Je sais que demain, Mme Courchesne et M. Courteau vont annoncer quelques mesures pour reprendre un peu du momentum perdu contre la violence dans la LHJMQ, mais même s’ils interdisent les bagarres, le principe de «la fin qui justifie les moyens» ne va pas changer…
Un autre qui en a long à dire est mon ancien prof de l’U. de L., Gaston Marcotte. Ce pionnier du hockey a écrit une lettre ouverte qui vaut la peine d’être lu…