Voilà, c’est écrit!
Nous avons maintenant le moyen de nos ambitions… La cité sans fil s’en vient. Ce n’est pas tant une histoire de nombre de «Zones d’accès public» qu’une attitude. C’est l’idée qu’on pourra imaginer (prochainement) vivre à Québec et ouvrir son iPod ou son portable et avoir de bonnes chances de pouvoir se connecter gratuitement sans fil à Internet à peu près de n’importe où. Autant pour les personnes de passage que pour ceux qui ont choisi d’y vivre…
Quatre organismes de la région nous procurent le moyen de ces ambitions; une injection de fonds, une fois, un montant d’argent… et après, l’obligation de s’autofinancer:
- La Conférence régionale des élus de la Capitale-Nationale (CRE)
- Le Bureau de la Capitale-Nationale (BCN)
- Le Forum jeunesse de la région de la Capitale-Nationale (FJRCN)
- Le Centre local de développement de Québec (CLE)
C’est vraiment bien de sentir le support des dirigeants de notre collectivité (lire ce communiqué, par exemple). Pas d’entourloupette, pas de combine; mais beaucoup de temps mis à rencontrer les décideurs, à «attacher les ficelles» comme on dit dans le jargon. Nommer ici tous ceux qui nous ont écoutés serait fastidieux, mais disons simplement que deux cabinets importants méritent d’être nommés dans la mesure où ils ne fournissent pas directement des sous ($), mais leur concours a été (et demeure) inestimable dans ce genre d’opération. Depuis plusieurs semaines, je communique régulièrement avec les organisations du Maire Labeaume et du Ministre Couillard et je peux témoigner d’une collaboration entière. Retour d’appels immédiat, informations précises, pas de louvoiement, bref… tout ce qu’on peut s’attendre de gens qui veulent que notre projet fonctionne sans vouloir prendre le crédit de la réussite. La ville de Québec, par exemple, ne donne pas directement de sous($), mais s’implique drôlement bien avec le branchement en masse des lieux publics sous sa gouverne comme les bibliothèques, parcs, arénas, centre communautaires, etc.
Comme je disais hier à une journaliste du Journal La Quête, la réussite de notre projet tient à la quarantaine de bénévoles qui mettent beaucoup d’heures à développer ZAP Québec autant comme «organisme» d’importance à Québec qu’en tant que «collectivité» investie d’une mission. Ce n’est pas toujours facile de réunir autant de personnes dans le travail en commun et l’arrivée de 170 000$ représente un défi. Ayant eu à composer avec des moyens plus que restreints depuis novembre 2006, il fallait être créatif et volontaire. Maintenant que nous avons quelques moyens, il faut trouver le génie de continuer à faire beaucoup avec peu tout en respectant le plan stratégique 2007-2011 que nous nous sommes donné. J’aime bien comment tout cela se présente…
Il faut voir que notre aventure s’inscrit dans un contexte bien plus large que le déploiement de l’Internet sans fil à Québec. Le développement du projet Wifidog, la contribution à ce changement dans nos rapports avec la connaissance, dans celui qui émerge au niveau du commerce électronique, de la démocratie participative et du journalisme civique. Nous travaillons actuellement à mettre un service de base qui servira notre collectivité dans une foule de domaines. Cette année du 400e aura été un déclencheur important à notre projet, il faut aussi le dire, parce que cet argument a compté quand est venu le temps d’ajouter qu’il fallait agir tout de suite, pendant qu’un grand nombre de personnes étaient pour nous visiter.
Et le meilleur est à venir…
Tags: "...à ce qui me fait plaisir" "La vie la vie en société" Zap-Québec
WIFIDOG pourcoie se sit bloque le resaux zap se sit vien directe de france
Pas certain de comprendre votre question… Wifidog est un logiciel d’authentification. Il ne bloque rien. Le réseau installé «en arrière» de Wifidog lui peut bloquer certains sites s’il est paramétré en ce sens…
pourcois que wifidog vien se instaler sur le resauzx zap de sherbrooke il cose des problimme