Le local dans lequel nous sommes réunis est rempli à pleine capacité. Autour d’une centaine de participants composent le groupe. Un rapport gars/filles de 60% gars pour 40% filles, à l’oeil. Les journalistes qui sont autour de moi, prennent tous des notes sur papier. Dans la salle, il n’y a aucun ordinateur, sauf un p’tit enfant de cinq/six ans qui joue sur une miniconsole de jeu vidéo. Une personne tenant une caméra numérique saisi la prestation des individus qui montent sur l’estrade.
Mario Dumont est assis au centre de la salle avec les invités qui seront amenés à prendre la parole. Il écoute ce qui se dit avec attention. Au fur et à mesure que les gens défilent au micro sur la tribune, les jeunes se lèvent et les applaudissent chaleureusement, attitude caractéristique des congrès politiques. Mario Dumont a été le plus applaudi, évidemment.
Au niveau des types de jeunes qui se trouvent dans la salle, on peut dire qu’ils correspondent au type d’individus capables de venir s’asseoir dans une université un samedi matin pour venir jaser de politique. Certains portent complet/cravate ou beau tailleur, d’autres sont plus relax et les «yo» ne semblent pas représentés. Il me semble y avoir une très grande majorité de gens entre 20 et 25 ans présents à cette activité. Je n’ai pas vu de député, autre que Mario Dumont, mais on me dit qu’il y en aura en cours de journée.
De fait, quand je regarde cela… je dirais que les jeunes qui sont ici sont beaux, et enthousiastes. Si j’avais à nommer des absents, je dirais que ce sont les mêmes absents qu’à l’habitude à ce genre de rassemblement… Je dis cela sans avoir vraiment pu échanger avec eux. Gardons-nous une p’tite gêne avant d’aller plus loin!
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
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