Cet économiste associé à l’IEDM a livré une allocution qui portait le titre «libéraliser l’université». Je ne crois pas que M. Laberge soit venu ajouter quoi que ce soit que nous ne savions pas déjà de ses idées. Les jeunes m’ont paru très bien connaître les arguments de ce jeune chercheur de l’Institut Économique de Montréal qui prône un dégel des frais de scolarité avec des arguments parfois exagérés. Sa proposition sur le remboursement proportionnel au revenu, (le RPR, ça viendrait de Claude Montmarquette), fait partie du cahier de propositions et il m’a donné l’impression de vouloir défoncer une porte déjà ouverte.
Par contre, ses propos sur le dégel uniforme qui pénaliserait les étudiants en sciences humaines vs ceux en médecine, m’ont semblé apporter un regard différent sur cette question de l’équité inter-programme dans la participation des différents étudiants au financement de leurs études. Une statistique qui m’a frappé est celle qu’au terme du dégel actuel (2012), on n’aura pas rattrapé le niveau de contribution des étudiants des années 1994-1995 à leur formation. Donc, pour aller dans le sens de son discours, M. Laberge propose que pour la période 2012-2017, on introduise cette notion de dégel asymétrique.
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Comme tant d’autres économiques, Mathieu Laberge semble vouloir régler les problèmes du monde via l’argent et nombreux avenants et aboutissants.
Mais…
Lorsqu’il est question de véritables être humains qui doivent, souvent malgré eux, faire les frais de politiques logiques au plan économiques mais nulles, au plan social, un économiste comme lui (formé en Angleterre, au moment de sa maîtrise) n’a peut-être pas encore bien compris les incidences, sur le terrain, de ses approches.
Pour l’heure, il importe de donner une tribune crédible à toutes les parties qui souhaitent débattre de l’avenir de l’éducation et de son financement.