Matt Mullenweg et la façon «WordPress» de bien faire les choses

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Crédit pour cette magnifique photo:
Eva Blue

Matt Mullenweg a vingt-cinq ans. Il est en vacances à Montréal, principalement pour le Festival de jazz, mais il a passé la majeure partie de la journée au WordCamp Montréal. On peut dire qu’il a volé la vedette…

Relax, il a répondu aux questions des quelque deux cents participants. Le jeune homme a offert une vision emballante de l’entreprise «Open source» (il est le fondateur de WordPress et aussi d’une nouvelle «startup», Automattic, la compagnie derrière WordPress.com, Akismet, Gravatar, bbPress, IntenseDebate, BuddyPress, et… «more to come» tel qu’il l’affirme sur son blogue). Quelques gazouillis de mon copain Carl-Frédéric témoignent de la force du propos:

  • Trademarks should be like the nuclear option: have it, but don’t use it #wcmtl (source)
  • Free as in freedom, not free as in price, software should have a bill of rights, greater than the sum of its parts. Future of all software! (source)
  • @photomatt is a smart fellow, impressive. #wcmtl (source)

Avant de l’entendre, j’avais lu «The way I work, annoted»; force est d’admettre que les journées de Matt Mullenweg sont pleines… Lui et Andy Peatling (développeur de WordPress MU «based social network project called BuddyPress») ont en quelque sorte «fait ma journée»! Dans l’informel, j’ai pu discuté avec les deux et c’est toujours agréable d’obtenir des feedbacks de gens de cette qualité.

Cela ne diminue en rien la qualité des autres intervenants et participants qui ont choisi de prendre une fin de semaine du mois de juillet pour en apprendre davantage sur un outil bien particulier… Un groupe de gens dynamiques, à majorité anglophones et très curieux. Pour le moment, plusieurs gazouillis, mais très peu de billets de blogues. On verra la suite demain!

S’il y a une façon «WordPress» de faire les choses, Matt Mullenweg l’incarne parfaitement. Tout comme les organisateurs de cette conférence. Simplicité, souplesse, profondeur et vision. Voilà. Bien faire les choses, c’est aussi (et surtout) avoir envie de les faire non pas vraiment pour devenir fameux, mais pour le simple plaisir de répondre adéquatement à des besoins. Ça pourrait peut-être s’incarner dans cette «quote» de @photomatt: «Open source companies go from economics of scarcity to economics of abundance»!

N.B. La vidéo de la séance de questions/réponses de Matt est disponible chez Erin Blaskie.

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