Ce matin, je découvre dans mon agrégateur un billet du genre de ceux qui me font toujours plaisir… Un enseignant demande de l’aide à sa communauté afin de soutenir une élève qui a choisi en tant que projet intégrateur «d’intéresser les jeunes de son âge à divers éléments d’actualité par l’entremise d’un blogue». Inutile de mentionner que c’est un plaisir de relayer cette initiative!
Parmi tous ces éléments de l’actualité en éducation qui ne sont pas faciles à décoder (l’Infobourg le souligne dans un édito bien senti), j’essaie de me concentrer sur du constructif. On m’interpelle souvent par courriel ou par blogue interposé sur ces mouvements d’humeur de l’actualité et j’ai encore le coeur aux débats, mais je choisis mes combats.
Par exemple, j’ai reçu un appel d’une journaliste de La Presse qui prépare un article sur l’Hyperc@asse de l’École Wilfrid-Bastien. Ça m’a fait plaisir de lui parler des défis de ce genre d’initiative. Aujourd’hui, c’est un étudiant finissant en journalisme au Cégep de Jonquière qui veut m’interviewer sur «les effets du multitâche en cette ère numérique» et sur les enjeux de l’apprentissage et de la concentration dans ce contexte. Je collaborerai de mon mieux.
Les esclandres sur les bulletins ou sur la réforme et ses fondements, je crois de plus en plus que je m’abstiendrai. J’ai déjà assez donné, d’autant plus que les mandats qui m’occupent actuellement m’accaparent beaucoup et sont au coeur de ma pratique autour des communautés d’apprentissage et de l’utilisation du numérique dans des contextes d’apprentissage. Ma rencontre avec Prensky me sera bien utile…
Mais je ne peux pas quitter sans hyperlier cet article du Globe and Mail qui traite du nouveau bulletin lancé en Ontario qui délaisse les notes et les cotes pour faire davantage de place aux commentaires des enseignants, «Teachers’ own comments return to report cards» (via @profenhistoire).
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Billets de mon blogue les plus lus au fil du dernier mois
Rechercher
Commentaires récents
- ClementLaberge dans Les étudiants d’aujourd’hui ont des mimiques de poissons congelés
- Benoit therrien dans Projet Lab-école : il y a foule pour réinventer l’école
- Mario Asselin dans Magic Door suspend ses activités
- Marc dans Magic Door suspend ses activités
- Mario Asselin dans Une semaine après l’attentat de Québec
Je crois comme vous en l’avenir de la société par l’aprentissage, mais aussi par le respect entre les classes sociales. Il faut combatre le mépris entre les classes. Certains dinosaures (le créateur de la petite robe noire, palais royal, par exemple) s’imaginant que par ce qu’il on un peu plus d’argent que le Français moyen, vous regardent avec un tel mépris, un tel dedain, une telle haine, qu’il sont à mon sens catalyseurs d’une fracture sociale. Pourquoi un citoyen se permet de regarder avec mepris quelqu’un qui s’arrete devant sa boutique juste par ce qu’il estime à sa tenue vestimentaire que ce n’est pas sa clientèle ? Dominique Guindon, le patron de HARTWOOD est bien plus riche finnancièrement que ce monsieur, ce qui ne l’empêche pas d’être aussi riche de son coeur. Il m’a receuilli alors que je débarquais à Paris sans argent. Il m’a donné ma chance, embauché, habillé, formé et même logé. Bien sur, la selection naturelle se chargera de ceux qui cultivent la haine, néanmoins, il faut lancer un avertissement politique de réconciliation entre les citoyens.
Mario Kekic
TIMEBUSTER
Bonjour Mario,
Je me permets une précision tant qu’au bulletin de l’Ontario. La décision de nos voisins ontariens ne concerne que la parution du premier bulletin de l’année, celui qu’on remet aux parents au milieu de l’automne. C’est très différent que ce que laisse entendre ton commentaire.
Par ailleurs, rien n’empêche pour le moment une école québécoise de faire la même chose au même moment de l’année. C’est ce que dans le régime pédagogique d’ici on appelle une « autre forme de communication ».
D’ailleurs, c’est souvent au milieu de l’automne qu’on se prévaut le plus souvent de cette option dans nos écoles. Au primaire, notamment, on organise des présentations de portfolio ou on produit un bulletin maison de type qualitatif, voire narratif.
Pour le reste, je pense que tu connais bien ma position.
Voilà une nuance importante Marc… Merci de cette précision.
Je remercie à mon tour Monsieur Saint-Pierre de la clarification. J’ai pu prendre mes désirs pour la réalité ici. Cependant, ça demeure un geste qui peut révéler une obsession moins grande pour les notes qui sertissent au Québec ce graal journalistique que sera un bulletin (dit) « simplifié ».
Les économistes à deux balles du PS genre Valérie Rabault prétendent qu’il faut faire venir en France des ingénieurs, des médecins etc.. Faire appel à l’immigration pour combler les postes vacants semble complètement délirant surtout quand on connaît la difficulté à être admi à l’école polytechnique par exemple. Ils veulent faire rentrer dix millions d’immigrés avec des statistiques de chômage catastrophiques. Une seule explication, faire baisser le prix du travail. Comment peuvent-ils mettre en avant un argument aussi discutable que le besoin de récupérer les diplômés étrangers ? Si on manque de diplômés en France (ce qui reste à prouver) cela veut dire qu’en France, on a mis tellement de barrières à l’obtention des diplômes et à l’admission dans les écoles supérieures qu’on a fini par éliminer trop de monde. Un étudiant Français en médecine doit obtenir une moyenne largement supérieure aux 10 de moyenne demandés aux étudiants étrangers pour passer dans l’année supérieure ce qui met sur le marché des médecins d’origine étrangères qui sont souvent moins brillants que les médecins Français. Il y en beaucoup d’étudiants Français qui à notes égales ne deviendrons jamais médecins mais seront infirmiers, sages-femmes, dentistes, pharmaciens… Je soutiens Claude Guéant et l’UMP à 1000% !
Ce que veulent les économistes à deux balles, c’est des salaires à 500 € par mois en France ! Ce fut longtemps la politique du PS pour des raisons electorales. C’est de nouveau le programme du PS.
C’est pour cela que l’UMP peut gagner en 2012. Il faut tout faire pour relever le pouvoir d’achat des Français et Nicolas Sarkozy aura son deuxième mandat.
_________________