Je suis finalement arrivé sur place (à Ludovia 2010) en fin d’après-midi mardi, juste à temps pour la dernière table ronde de la journée. Il faut dire que le fil Twitter #ludovia2010 et quelques billets de blogues (1, 2, 3 et 4) m’avaient permis à distance de suivre l’action. Surtout, les sept heures de train m’ont paru moins longues, la prose de mes copains sur place étant très inspirée, particulièrement pendant les premiers exposés des sémiologues ludo-éducatifs!
Ça faisait du bien de renouer «en présence les uns des autres» avec ces gens avec qui j’entretiens des correspondances à distance par le biais du numérique. En plus, cette année, de nouveaux visages s’ajoutent et enrichissent l’événement. Je reviendrai plus tard sur le contenu des premiers échanges (dont ceux du BarCamp), mais ce qui m’a frappé hier réside dans le niveau d’expertise des gens sur place. Plusieurs des participants ont quelques années «de terrain» en arrière d’eux et leur perspective laisse bien peu de place aux idées creuses et aux formules faciles. Chacune des conversations débouche rapidement sur des propos critiques aux tonalités empreintes de nuances et de circonspection. Les «nouveaux» sont rapidement introduits dans les cercles de discussions et apportent leurs expériences.
Évidemment, on se connaît de mieux en mieux. Nos rengaines, nos préjugés, les endroits (nombreux) où il y a encore de l’espace pour bouger dans nos têtes… tout cela composant la mosaïque de ce avec quoi on peut bâtir.
Cette année, les gens du numérique se sont vu coiffer du titre d’influenceurs. Passé le temps où j’étais parmi les seuls à rapporter le contenu des débats. Plus d’une douzaine de «braves personnes» entretiennent les réseaux et une réelle conversationréelle conversation engage des gens qui ne sont pas sur place. Pendant le feu roulant des activités, il y a même parfois un «mur des contributions Twitter» qui défile derrière les intervenants.
Ludovia évolue…
J’aime bien ce que je vois et entends!
« La république des blogueurs »
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
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Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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