Cours #1 hier soir à l’Université de Montréal pour moi qui suit devenu chargé de cours récemment. Il a bien fallu au moins deux minutes pour me sentir à l’aise devant les soixante étudiants. Pour eux, je ne sais pas vraiment, même si souvent, j’ai bien senti le courant passer. Les trois heures de cours n’avaient rien d’ordinaire dans le contexte universitaire, ça, j’en suis certain. Le témoignage des étudiants à cet effet était sans équivoque. J’ai pu positionner adéquatement le cadre de l’organisation apprenante que je souhaite aménager le plus tôt possible d’ici à la fin de la session. Déjà, les différentes réactions sur notre plateforme m’indiquent que la période d’appropriation de cet environnement Web sera courte pour plusieurs. Ça promet!
J’aime enseigner. J’aime la dynamique de groupe du contexte de l’enseignement.
Je suis arrivé au bout de ma feuille de route à dix minutes de la fin du cours. J’ai laissé partir les étudiants, convaincu qu’ils avaient hâte de terminer cette longue journée eux également. Pour eux et pour moi, c’est le début d’une nouvelle aventure qui va bien au-delà de la communication interne dans les différents types d’organisations. Depuis le temps que je me fais dire que certaines de mes théories sur l’apprentissage et les nouvelles technologies peuvent fonctionner au primaire et au secondaire, mais que le contexte de l’enseignement universitaire ne s’y prête pas… Le cours d’hier m’indique qu’au contraire, les résultats en terme d’apprentissage viendront bien davantage par la valeur ajoutée que nous procure la possibilité de rester en contact les uns avec les autres entre les trois heures de chaque lundi soir qu’autrement.
Bien hâte à lundi soir prochain!
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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Bon, je tiens à vous confirmer que je me sentais vraiment impliqué dans le cours. Et malgré la méthode d’apprentissage qui sort complètement de l’ordinaire… je suis très ouvert à en apprendre plus.
Bonne journée.
Bravo Mario !
Je me réjouis que tu puisses contribuer à influencer ces futurs enseignants !
À toi et aux étudiants, je vous souhaite une très belle session !
Merci de vos commentaires.
@Patrice
Tu seras peut-être étonné d’apprendre que je n’enseigne pas à des futurs enseignants… C’est la Faculté d’éducation permanente qui me procure cette première occasion d’oeuvrer à l’université. J’enseigne donc à des gens en communication ou en relation industriel, pour l’essentiel 😉