J’ai passé dix-sept des vingt-trois derniers jours ouvrables hors du bureau en conférence, formation ou atelier, la plupart du temps hors de Québec. J’ai pu intervenir directement auprès de plusieurs centaines de gens et côtoyer des milliers de personnes dans des événements de différents genres, principalement liés aux secteurs culturel ou scolaire. Que ce soit dans le cadre de ce nouveau mandat de recherche qui débute avec des directions d’école ou dans le contexte de rencontres à petit/grand déploiement, ma perception est la même : les gens sont prêts à considérer que les outils du Web participatif font davantage partie des solutions que des problèmes!
Au-delà du « buzzword » qui pourrait se cacher derrière l’expression COMMUNAUTÉ, j’ai ressenti beaucoup d’intérêts à voir comment on peut passer d’une communication « un à plusieurs » à une autre, « plusieurs à plusieurs ». Cette idée qu’il y a moyen d’être plus efficace en éducation et en culture en acceptant que des gens qui partagent nos objectifs puissent agir en concordance avec nous sans nécessairement «porter» exactement LE message qui est le nôtre… ça commence à intéresser des gens qui se sentent isolés ou submergés par l’abondance de ce qui est à faire.
Tant en éducation qu’au niveau des intervenants du milieu culturel ou autre le rôle d’animateur de communauté continue de susciter beaucoup de curiosité et j’aurai bientôt un nouveau projet à annoncer sur ce sujet!
Avec le fait que ma charge de cours universitaire arrive à terme en même temps que la fin de session, j’aurai sûrement un peu plus de temps pour objectiver ici toutes ces rencontres qui m’ont beaucoup apporté. Même si j’enseignerai encore à la session d’hiver, le fait que mon cours sera monté va me permettre un peu plus de temps pour bloguer, ce que j’ai négligé un peu ces derniers temps. Je discutais jeudi dernier avec des étudiants(es) au bacc. en enseignement de l’Université Laval et je réalisais encore jusqu’à quel point revenir sur ce qu’on apprend dans un blogue est plus important que les contributions sociales sur Twitter ou Facebook.
La semaine prochaine est encore très chargée, mais décembre me permettra d’élaborer un peu plus sur les thèmes des communautés, de l’animation et de l’objectivation. D’ici là, je suggère la lecture de de ce schéma trouvé à même le texte hyperlié plus haut de Jeff Utecht:
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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«J’ai passé dix-sept des vingt-trois derniers jours ouvrables hors du bureau»… Mais qui a vraiment besoin d’un bureau de nos jours?