Possible que cette année, le choix de la «Person of the Year 2010» du magazine TIME devienne une sorte de faux pas. Bloguée très rapidement après l’annonce, la nouvelle devenait plutôt «Pourquoi ne pas avoir nommé Julian Assange à l’origine de Wikileaks plutôt que Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook ? Patrick Lagacé est allé dans ce sens sur son blogue, alors que celui du Washington Post titre « Mark Zuckerberg beats Julian Assange for Time’s 2010 Person of the Year ».
Le TIME a manqué de cette audace dont il avait fait preuve en 2006 en décrétant que «Person of the Year for 2006 is you».
De fait, le problème réel est probablement dans l’idée de persister à croire en l’importance du levier «Person of the Year» en 2010.
Qui peut réellement exercer une influence sans regrouper ? N’est-il pas venu le temps d’identifier que c’est la force d’une communauté qui fait l’événement plutôt que celle d’un individu ?
Ne serions-nous pas meilleurs critiques envers TIME de lui suggérer dorénavant d’identifier «People of the Year» à partir de 2011 ?
«People» dans le sens anglophone de «a group of persons sharing a culture or social environment» autant que lorsqu’on l’utilise comme pluriel de «person»…
Et dans la foulée, le magazine TIME pourrait se rétracter (sans vraiment le faire) et nommer Facebook «People of the Year 2010» !
N.B. Sur Twitter, karl dubost montre bien la perspective de chacun au moment de choisir Zuckerberg plutôt qu’Assange… «beautiful irony: public chooses Assange (open gov for people), TimeMag chooses Zuckerberg (people opened for business)».
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Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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