«Le domaine des relations publiques atteint une sorte de point de bascule irréversible en communication: celui du déplacement d’un modèle de la diffusion vers un modèle de la participation, de la contribution et de l’engagement».
La sortie de Luc Beauregard (président exécutif du conseil de Res Publica et fondateur du cabinet de relations publiques National) a fait réagir Patrice Leroux (responsable du Certificat en communication appliquée et du Certificat de relations publiques de l’Université de Montréal) sur son blogue. De très belle façon, celui qui est responsable de ma venue à titre de chargé de cours à l’UdeM démontre que la contribution de M. Beauregard «attise les reproches les plus déshonorants envers les relations publiques»!
Dans son billet «Le lynchage des relations publiques», M. Leroux plaide plutôt pour «un nouveau modèle de pratique» et cite le mémoire de maîtrise de Matthieu Sauvé qui «vise à faciliter le dialogue véritablement authentique» plutôt que de valoriser «la confrontation, le « spin » et le mépris de l’autre».
J’apprends à mieux connaître le domaine des relations publiques et j’aime bien la vision de Patrice qui plaide aussi pour le rôle central de l’appropriation du web et des médias sociaux par les citoyens [qui] transforme également tout individu en « influenceur » potentiel dans l’univers médiatique».
À lire…
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