Jour #16 de la campagne électorale fédérale 2011. J’ai déjà expliqué dans un précédent billet que je ne donnerais pas dans la politique partisane sur ce carnet Web.
Mais rien ne m’empêche de me poser quelques questions…
De qui ça vient cette supposée promesse d’une campagne Twitter ? Une invention des médias ou une lubie des partis politiques ?
Les politiciens comme les journalistes, les gens en relations publiques ou les chroniqueurs et autres animateurs dans les médias sont des communicateurs; pourquoi lit-on depuis le début de la campagne dans tous les médias que les politiciens n’ont rien compris aux médias sociaux ? Les journalistes (ou les autres communicateurs) ont-ils mieux établi le dialogue avec leur lectorat sur les médias sociaux ? Combien de gens des médias publient eux-mêmes du contenu sur leur propre blogue et répondent aux commentaires qui s’en suivent ? Parmi tous ces gens des médias, la proportion de ceux qui animent une page Facebook ou un canal Twitter est-elle à ce point plus importante que la proportion de politiciens ?
La progression au niveau des usages du numérique au niveau politique est-elle à ce point plus lente que chez d’autres catégories de professionnels ? du domaine des affaires ? de la population en général ?
Qu’est-ce qu’on sait de la partie «invisible» de l’utilisation d’Internet par les formations politiques (utilisation des courriels, communication différenciée, pointage numérique, apport au financement, utilisation d’un intranet et autres moyens électroniques d’améliorer les communications internes) ?
A-t-on suffisamment entendu parler des initiatives comme J’vote ou Pourquoi je vote qui encouragent la participation des jeunes par le biais d’espaces numériques ?
Et si le domaine de la politique n’était pas plus lent que la moyenne des ours dans les autres secteurs d’activité à utiliser judicieusement le Web ou les médias sociaux…
Je soumets respectueusement cette hypothèse.
On en reparlera après la campagne.
Pendant vingt-deux ans, l'école a été mon véhicule pour «changer le monde». J'y ai vécu des années fantastiques où j'ai beaucoup appris des élèves et où je suis allé au bout de certaines idées.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
Depuis 2005, mon parcours en entreprises m'a permis d'aider des organisations à mieux prendre le virage numérique et ainsi de bien gérer le changement.
J'avoue être un idéaliste.
Je travaille de manière constructive avec tous ceux et celles qui veulent faire avancer la société !
Un autre véhicule me permet d'intervenir concrètement, celui de la politique. Je milite depuis 2011 à la Coalition avenir Québec et j'occupe actuellement le poste de vice-président Est-du-Québec. Aussi, depuis le 7 mars 2018, je suis le candidat dans Vanier-Les Rivières, en vue des prochaines élections générales au Québec.
On peut évidemment m'écrire pour le travail ou pour la politique.
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«Combien de gens des médias publient eux-mêmes du contenu sur leur propre blogue et répondent aux commentaires qui s’en suivent ?» Gilbert Lavoie le fait régulièrement ici à Québec. Par ailleurs, j’ai souligné dans mon émission de samedi le grand intérêt de la blogosphère de Québec pour la campagne électorale. Les blogues sont sans doute plus propices à s’exprimer que ne l’est Twitter. Je suis par contre déçu du peu d’utilisation du médium blogue par les partis politiques.